blague assassinat
La correspondance de Colonna
Les perles : la justice
Dans une lettre adressée à l’hebdomadaire nationaliste corse U Ribombu, Yvan Colonna, le tueur présumé du préfet Érignac, en cavale depuis mai 1999, sort de sa réserve : « Je n’y suis pour rien dans cette affaire (…) Je redescendais chez moi avec mes chèvres, lorsque j’ai rencontré quelqu’un qui m’a dit que j’étais activement recherché par la police pour l’affaire Érignac. » Vingt mois pour pareille fulgurance épistolaire, Yvan Colonna peut revoir sa copie.
Le crime suicidaire
Les perles : la justice
Le bâtonnier et académicien Henri Robert, défendant un caporal qui a assassiné une femme de quarante coups de couteau, est si ému qu’il en perd le contrôle de sa plaidoirie : « Non, mon client n’a jamais eu d’intention criminelle : il voulait se suicider d’abord et la tuer après. »