blague asile de fous
Le fou surdoué en peinture
Dans un asile de fous, Samuel le parano est considéré comme le Salvador Dali de l’atelier de peinture. Sur la recommandation des infirmiers, le directeur de l’hôpital psychiatrique vient donc lui rendre visite dans l’atelier de peinture.
Samuel est très fier et lui montre sa dernière toile. En la voyant, le directeur s’interroge :
– Mais dites-moi Samuel, votre toile est très jolie mais elle est complètement blanche… Qu’est-ce que cela représente ?
– C’est évident, répond l’aliéné, c’est la représentation de l’Exode de la Bible !
– Je vois, acquiesce le médecin. En fait, je ne vois pas vraiment où est la Mer Rouge…
– Ah oui, dit Samuel, c’est parce que le tableau est peint au moment où elle est ouverte en deux par Moïse.
– Et où sont les Hébreux ? Poursuit le médecin.
– Ils sont déjà passés…
– Et les Egyptiens, alors ? S’énerve le psy.
– Mais enfin, vous le voyez bien ?! S’insurge l’artiste indigné. Ils ne sont pas encore arrivés !
La blague des lapins bleus
Le médecin chef fait la tournée de son un asile psychiatrique afin de juger de l’état des patients et de déterminer si certains peuvent quitter leur cellule. Arrivé dans la première cellule, il voit un homme en train de faire de la moto sur un lapin bleu.
– Dites, mon brave, que faites-vous donc ?
– Ça se voit, non ! Je fais de la moto !
– Ah bon…
Le médecin chef continue son chemin. Arrivé à la cellule suivante, le pensionnaire est également en train de faire de la moto sur un lapin bleu.
– Dites, mon brave, que faites-vous donc ?
– Ça se voit non ! Je fais de la moto !
– Ah bon…
Chaque pensionnaire est en train de faire de la moto avec son lapin bleu. Sauf un, dans la dernière cellule, qui est assis à terre et qui caresse bien gentiment son lapin.
– Dites, mon brave, il a l’air bien gentil votre lapin…
– Oh, vous savez monsieur, c’est le plus gentil de tous les lapins bleus.
– Et vous savez que les autres sont en train de faire de la moto avec leur lapin ?
– Quoi, ils sont déjà partis ?
L’organisation de l’hôpital psychiatrique
Dans un hôpital psychiatrique, au cours de la visite d’un Ministre :
– Alors Monsieur le Ministre, l’hôpital est organisé par étages : au rez-de-chaussée, les personnes soufrant de troubles légers, qui vivent à l’extérieur et qui ne viennent ici que pour leurs soins, au premier étage, les débiles légers nécessitant un internement et au deuxième étage, les débiles profonds.
– Ah bon, et au dernier, c’est quoi ?
– Le bureau du directeur.