blague arnaque

Langage rapide (et langue qui fourche)

Les phrases suivantes sont à faire répéter très vite. La personne qui le fera prononcera rapidement a deuxième phrase en lieu et place de la première.

Deux draps en toile écru.
=> Deux doigts entre le cul.

On est arrivé à pied par la Chine.
=> On est arrivé à chier par la pine.

La flotte de la reine est prête.
=> La plotte de la reine est frette.

Prenez les choses en riant.
=> Prenez les roses en chiant.

Monsieur le curé est devenu fou entre deux messes.
=> Monsieur le curé est devenu mou entre deux fesses.

La dame a une puce dans le cou.
=> La dame a un pouce dans le cul.

Le jus de canne est sucré.
=> Le cul de Jeanne est sucré.

On a mis un écu dans le tronc de Saint-Joseph.
=> On a mis un étron dans le cul de Saint-Joseph.

Le monsieur a la pine dorsale perforée.
=> Le monsieur a la pine trop sale pour fourrer.

Les enfants s’encrassent et se brossent.
=> Les enfants s’embrassent et se crossent.

Il avait la mine piteuse.
=> Il avait la pine miteuse.

L’ingénieur brasse le béton à la tonne.
=> L’ingénieur brasse les tétons de la bonne.

Elle s’amusait sur la berge du ravin.
=> Elle s’amusait sur la verge du rabin.

Le sang circule.
=> La cire s’encule.

Le garçon empilait le vieux fer dans la rue du quai.
=> Le garçon enculait le vieux père dans la raie du cul.

Le père a une belle-mère.
=> La mère a une belle paire.

La Chine, toute entière, se leva à la vue des Nippons.
=> La pine, toute entière, se leva à la vue des nichons.

Il faut jouer au tennis en pension.
=> Il faut jouer au pénis en tension.

Le pape a pu déceler une faille au concile.
=> Le pape a pu dépuceler une fille au concile.

Une nichée de pinsons.
=> Une pincée de nichons.

Les roches plates.
=> L’arrache plotte.

La jeune soeur est folle des messes.
=> La jeune soeur est molle des fesses.

Prendre une escalope avec une salade.
=> Prendre une escalade avec une salope.

Le monsieur qui avait une martingale

Dans un cocktail, un monsieur annonce au directeur d’un casino :
– Tiens, l’été prochain, je vais aller gagner quelques millions chez vous.
– Mon cher, répond son interlocuteur, sachez que notre casino accueille avec plaisir tous les joueurs.
– Oui, mais attention, prévient le monsieur. J’ai une martingale.
– C’est très différent, alors, dit le directeur. Notre casino accueille avec plaisir tous les joueurs. Mais ceux qui ont une martingale, il les fait venir à ses frais, en avion.

Le client grincheux qui voulait du pain

Un client grincheux interpelle le garçon :
– Dites donc, vous n’êtes pas généreux, ici ! Deux morceaux de pain dans ma corbeille, pour tout un repas, vous ne vous ruinerez pas.

Le lendemain, il revient et on lui apporte trois morceaux de pain. Naturellement, il trouve encore moyen de se plaindre que ce n’est pas suffisant. Le surlendemain, le garçon dispose, sur sa table, quatre morceaux de pain.

Le grincheux n’est toujours pas content. Au fil des jours, il en arrive à avoir jusqu’à quinze morceaux de pain dans sa corbeille, et il se trouve toujours brimé.
– Je commence à en avoir par-dessus la tête, dit le patron au garçon. A midi, on va lui clouer le bec une bonne fois. Envoyez chercher un pain de quatre livres à la boulangerie voisine. Coupez-le en deux, dans le sens de la longueur, et posez-le sur sa table. On verra bien ce qu’il dira.

Et bien, le rouspéteur ne fut pas content du tout. Il se leva et alla trouver le patron en disant :
– Alors, vous recommencez à me mettre seulement deux morceaux de pain ?

Blague (méchante) à faire à un ami :

Demandez-lui de prendre une feuille de papier et un crayon. Faites lui écrire sur une feuille :
« C’est combien une place de cinéma ? »
et pour finir faite lui lire la phrase SANS PRONONCER LES « C ».

Quand avec bien du mal il a dit : « est ombien une pla de inéma ? »
vous lui dites : « Pour les golios c’est demi tarif »

Ça marche à tous les coups.

La confession d’une ‘bonne action’

Il y a pas si longtemps que cela, un gars va se confesser :
– Pardonnez-moi mon Père, parce que j’ai pêché : Pendant la seconde guerre mondiale, j’ai caché un juif dans mon grenier.
– Hé, mais ce n’est pas un pêché ! répond le prêtre.
– Oui, mais je lui ai demandé 500 francs pour chaque semaine qu’il passait là.
– Ah ça d’accord ! Ce n’était pas bien, mais ce n’était pas un gros pêché puisque vous faisiez une bonne action en même temps. Répond le curé.
– Oui, mais je ne lui ai pas encore dit que la guerre est finie !