Nous sommes à Marseille en plein mois d’août. Le bus est bondé, plein de touristes et de locaux. Là, coincée parmi les autres passagers, une pin-up anglaise maquillée à outrance et habillée raz-la touffe attire l’attention d’un type du pays.
La moiteur de l’été aidant, le marseillais ne peut s’empêcher de masser le postérieur de la touriste d’outre-manche.
Tout d’un coup, celle-ci se retourne et flanque un soufflet magistral au tripoteur : – Malotru ! (à prononcer avé l’accent anglais)
Et notre marseillais tout penaud : – Ah pardon ! Je savais pas…
C’est trois blondes anglaises qui sont en visite en France. Elles vont chez le fleuriste. La première blonde dit : – Quelle belle fleur ! Comment ça s’appelle ? – C’est une tulipe, répond le fleuriste. – Okay, je l’achète !
La deuxième blonde demande : – Quelle belle fleur ! Comment ça s’appelle ? – C’est une rose, répond le fleuriste. – Okay, je l’achète !
La troisième blonde arrive et demande : – Quelle belle fleur ! Comment ça s’appelle ?
Le fleuriste avait envie de rire un peu et lui répond : – Ça c’est un trou de cul. – Okay, je l’achète !
La dernière blonde sort du magasin et voit une femme qui tient la même fleur dans ses mains. Toute heureuse, elle dit à la dame : – Oh madame, votre trou de cul est bien plus ouvert que le mien !
Une jeune veuve de nationalité britannique s’est remariée en secondes noces avec un puriste de l’université qui l’initie aux finesses de la langue française : – Il ne faut pas confondre, lui assène-t-il, le mot « second » avec son synonyme « deuxième ». On dit « second » quand il n’y a que deux objets. « Deuxième », au contraire, implique l’idée de troisième, quatrième… etc… Voyons si tu as compris. Ainsi, par exemple, Charles était ton premier mari, moi, je suis le… ? – Deuxième ! déclare-t-elle.
Une Anglaise, qui découvre Saint-Tropez, aborde un agent de police, en baragouinant tant bien que mal : – Je voudrais voir d’authentiques habitants du pays. – Allez jusqu’au bureau de poste, lui conseille le policier. Les rares personnes dont vous ne verrez pas les fesses sont celles que vous recherchez.
Ca se passe dans un lycée de jeunes filles en Angleterre. Le professeur de français commence son cours en proposant un exemple pratique…
– Bonjour mesdemoiselles. Vous savez que la langue française contient des mots très bizarres parfois… Par exemple le mot « cuillère » : est-ce que certaines parmi vous savent de quel genre est ce mot ?
Dans la salle, plusieurs mains se lèvent. Le professeur donne la parole à la belle Barbara : – Moi je sais. Nous avons en ce moment un french correspondant à la maison. Justement, hier soir, je lui ai demandé s’il prenait une douche, et il m’a répondu : « Non, j’ai lavé mon cul hier ». J’en déduis que le mot « cuillère » est masculin !
Cindy n’est pas d’accord. Elle piaffe d’impatience sur sa chaise et veut donner sa version. – Oui Cindy, tu n’es pas d’accord ? – Non, moi je pense que le mot « cuillère » est du féminin genre, isn’t it. La preuve, c’est qu’hier je demandais à mon petit ami français s’il s’était lavé, et il m’a répondu : « Bien sûr que oui, j’ai lavé ma queue hier ».
Du fond de la salle, Anita prend la parole : – Vous avez tort toutes les deux, cuillère est au pluriel : la preuve, moi aussi j’ai flirté avec un nice little frenchy hier, et quand je lui ai demandé s’il était propre, il m’a répondu : « Oui je suis propre ! Je me suis lavé les couilles hier. »