blague anglais

Le voyage problématique

M. Smith est en train de faire ses bagages pour partir en voyage d’affaires à Paris. Sa femme le regarde faire tout en reniflant.
– Allons, darling, lui dit son mari, ne pleurez pas comme ça ! Je vous téléphonerai dès mon arrivée. Vous savez, mon voyage peut être beaucoup plus court que prévu !
– Mais oui, sanglote sa femme, c’est bien ce qui m’ennuie !

La blague des Anglais en France

Trois Anglais, le grand-père, le père et le fils passent un week-end à Paris. Ils s’installent dans un petit hôtel particulier en compagnie de leur fidèle valet de chambre, prénommé John.

Le soir venu, vers 20 h, le fils quitte la maison pour aller vivre sa vie. Vers 20 h 30, c’est au tour du père de s’en aller… À 21 h, c’est le grand-père qui passe le pas de la porte…

Vers 2 h du matin, le fils rentre, visiblement satisfait. John l’accueille :
– Monsieur a passé une bonne soirée ?
– Excellente, mon cher John… Ah si vous saviez, ces Françaises, quelle beauté mais surtout quelle fougue !

Une heure plus tard, c’est au tour du père de réintégrer le domicile.
– Monsieur a passé une bonne soirée ? interroge John.
– Excellente, mon cher John… Ah ces Françaises, quel charme mais surtout quelle expérience !

À 7 h du matin, voici le grand-père qui met doucement la clé dans la porte.
– Monsieur a passé une bonne soirée ? interroge John.
– Excellente, mon cher John, s’exclame le pépé… Ah, ces Françaises, quelle jeunesse, quelle classe et surtout quelle patience !

Les Lords anglais

Deux lords anglais discutent politique et faits de société :
– Mon cher John, vous savez en quelle estime je vous tiens. Mais sincèrement, on dirait parfois que vous ne connaissez pas le peuple anglais. Vous vivez dans une tour d’ivoire défendue par des molosses et n’avez jamais le moindre contact avec le bas peuple… Tenez, n’avez-vous jamais pris l’autobus ? C’est pourtant du dernier drôle !
– À cela Harold je vous répondrai que mon chauffeur étant malade, j’ai dû ce matin même me rendre au Club en autobus. J’avoue que l’expérience m’amusait. Mais voyez-vous, cher Harold, je m’en suis lassé très vite… Cela tient peut-être au fait que le receveur a refusé de me servir un drink…

La survie réglementaire

Un citoyen anglais, fort bien conservé pour ses soixante-quinze ans, venait de sortir vainqueur d’une délicate intervention. Il promenait sa convalescence guillerette dans la clinique, lorsqu’il se trouva dans un couloir interdit aux malades, ce qui serait tout à fait naturel pour un Français, mais qui est le comble de l’anarchie pour un Britannique !

Il tomba alors en arrêt devant une affichette destinée aux réanimateurs, signée du médecin-chef, et ainsi conçue :
« Il nous semble inutile de réanimer les patients de plus de soixante-dix ans s’ils sont atteints d’une des maladies chroniques suivantes : … »

L’Anglais reconnut la sienne dans la liste. Respectueux du règlement, il mourut aussitôt d’un infarctus…

Éducation anglaise

Un lord anglais convoque son jeune fils pour parfaire son éducation.
– John, dit-il, je vais vous poser une question. Lorsque vous entrez, par mégarde bien sûr, dans une salle de bains déjà occupée par une dame, que dites-vous ?
– Je lui fais mes excuses et je lui dis : « Pardon, madame. »
– Eh bien, non, John. Un parfait gentleman qui entre dans une salle de bains où il trouve une dame doit lui dire : « Pardon, monsieur. »