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Plusieurs centaines d’orgasmes

Pendant un cours sur la sexualité à l’université, le professeur épluchait les résultats du rapport Kinsey.
A titre d’anecdote, il cita le cas d’une femme qui avait révélé parvenir à plusieurs centaines d’orgasmes durant une seule nuit.

Dans l’auditoire impressionné, une voix masculine s’éleva :
– Oh la vache, j’aimerai bien connaître cette fille-là !
Rires de l’assemblée.

Et aussitôt après, une voix féminine répondit :
– Tu parles ! Moi, je préférerais connaître le type avec qui elle couchait !

Le dentiste du golf

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Deux amis golfeurs discutent tout en faisant leur partie sur le green.

Le premier dit à l’autre :
– Tiens, demain je vais me faire poser un dentier chez le Dr Jean Sive, celui qui a son cabinet dentaire près de la mairie.
– Ah oui, répond l’autre. Je le connais. En fait je suis allé chez lui il y a quelques années…
– C’est vrai ? reprend le premier. Et alors, est-ce qu’il a fait du bon travail ?
– Du bon travail ? Je vais te donner une anecdote et tu vas comprendre… Hier, j’étais sur le parcours lorsqu’un gars au neuvième trou a fait son premier tir. La balle devait bien être à 250 km/heure quand je l’ai reçue dans les parties. Eh bien pour te dire, c’était la première fois depuis deux ans que je n’ai plus eu mal aux dents !

Le déménagement de Von Neumann

On rapporte une anecdote concernant la vie de Von Neumann, grand mathématicien américain de ce siècle.

Comme tout personnage reconnu doté d’un génie hors de la norme, notre sympathique savant s’efforçait de ne consacrer aux activités journalières qui nous préoccupent tous qu’un minimum d’attention, qui tendait vers 0 lorsque « t » tendait vers l’infini.

Il arriva un jour qu’il devait déménager, sa femme ayant géré toute l’opération depuis son début, tint à indiquer à notre savant cosinus l’adresse de leur nouveau home sweet home : elle la nota soigneusement sur un bristol qu’elle glissa dans la poche droite de son savant logarithme de mari. L’égérie du génie laissa son protégé au matin non sans lui rappeler qu’il quittait cette maison pour toujours.

Mais ce qui devait arriver arriva, et c’est là que les athéniens s’éteignirent. Une géniale idée traversa le génial cerveau du génial savant. La saisissant au vol, le savant exponentiel la nota sur un bout de papier qui traînait dans sa poche droite. Mais après avoir nettoyé ses lunettes, la géniale idée devint bête comme choux et le papier la supportant finit sa trajectoire parabolique dans une corbeille heureusement placée.

Le soir venu, notre hyperbolique savant quitta son travail et rentra chez lui. Comme vous l’avez tous deviné, il trouva porte close. En plein désarroi, il accosta une petite fille qui jouait à la marelle sur le trottoir
– Dis-moi petite, je suis Monsieur Von Neumann, j’habitais ici, est-ce que tu sais ou j’habite ?
– Oui papa, maman m’a dit de venir t’attendre ici.

La belle-mère préhistorique

Un archéologue affirme avoir découvert, dans une grotte d’Anatolie, une fresque préhistorique contant, de toute évidence, l’anecdote suivante :

Une femme des cavernes se précipite vers son homme des cavernes en hurlant
– Glop yard dipi grr hop mama (Chéri, un énorme diplodocus vient d’enlever maman).

A quoi l’époux répond, sans sourciller :
– Tant pis pour lui. Laisse ce stupide animal se tirer lui-même du pétrin où il s’est mis.

Un esprit de déduction digne de Sherlock Holmes

Sir Arthur Conan Doyle, le créateur de Sherlock Holmes aimait raconter des anecdotes personnelles, dont celle-ci qui lui était arrivée à Paris alors qu’il attendait un taxi.

Conan Doyle attend donc un taxi à la sortie de la gare Montparnasse. Lorsque le taxi s’arrête, l’écrivain monte et il s’apprête à donner sa destination lorsque le chauffeur le coupe :
« Bonjour Monsieur Doyle. Où désirez-vous aller ? »

Doyle est sidéré ! Il demande au chauffeur comment il a pu le reconnaître comme ça, au premier coup d’œil. « M’aviez-vous déjà vu auparavant ? »

« Non monsieur » lui répond le taxi, et il ajoute, « par contre, les journaux de ce matin disaient que vous étiez en vacances à Marseille. Et je vous ai pris gare de Lyon, là où les trains venant de Marseille s’arrêtent. La rougeur de votre peau qui est plutôt d’un teint pâle me dit que vous rentrez de vacances. Les taches d’encre sur votre index droit me disent que vous êtes un écrivain ou au moins que vous écrivez beaucoup. Vos vêtements sont typiquement anglais… En additionnant toutes ces informations, j’en ai déduit que vous étiez Sir Arthur Conan Doyle ! »

Doyle lui répond : « C’est réellement fantastique, n’est-il pas. Vous êtes la réplique parfaite de mon personnage de fiction, Sherlock Holmes, à la différence que vous, vous êtes réel ! »

« Et il y a autre chose », ajoute le taxi.

« Quoi donc, qu’allez-vous encore m’apprendre ? », s’enquit Doyle.

« Votre nom est inscrit sur votre valise » achève le taxi…