blague américains

Le combat de chiens pendant la guerre froide

Pendant la guerre froide, les Américains et les Russes sont au plus haut de la course à l’armement et se demandent enfin si ils ne vont pas faire péter toute la planète.

Aussi, un beau jour, ils décrochent le téléphone rouge et conviennent de se réunir et de se débarrasser du problème une fois pour toutes et réglant le conflit UR.S.S.-U.S.A. par un combat de chiens.

Un délai de 5 ans est fixé pour le grand événement, laissant aux deux parties le temps d’élever le pire molosse capable de détruire son opposant à coup sûr.

Le chien gagnant la partie permettra à son pays de devenir le maître du monde, au moins jusqu’au prochain combat.

Les Russes se mettent donc à la recherche des meilleures chiennes Rottweiler, et lorsqu’ils trouvent enfin la perle rare, il la font saillir par le loup sibérien le plus sauvage. De la portée qui en découle, ils choisissent le plus teigneux et éliminent ses frères et soeurs pour lui laisser tout le lait, puis ils commencent l’entraînement en n’oubliant pas de le doper aux stéroïdes de synthèse.

Finalement, en un peu plus de 4 ans, ils obtiennent un monstre capable de mettre la pâtée à un lion d’un seul coup de croc.

Chez les Américains, les préparatifs restent top secret.

Et finalement vient le jour du combat, et les Américains s’amènent avec un teckel de 3 mètres de long !

Tout le monde se doute de l’issue du combat et pense que le chien russe va faire un vrai carnage… Et puis les cages sont ouvertes.

On voit alors le teckel américain marcher tout doucement vers son opposant dont les grondement font vibrer le chapiteau, et puis le chien russe se décide et bondit sur l’américain. A ce moment, le teckel ouvre sa gueule et la referme sur le cou du chien russe, lui brisant irrémédiablement les cervicales. En un seul coup de gueule, le teckel a triomphé du croisement Rottweiler x Loup sibérien !

Les Russes sont effondrés. Ils viennent voir leurs opposants :
– Nous ne comprenons pas comment une telle chose a pu se produire… Cela faisait 5 ans que nos plus grands généticiens, endocrinologues et entraîneurs sportifs travaillaient à nous fabriquer le mélange canin le plus explosif issu du croisement entre une femelle Rottweiler et un mâle de Loup Sibérien, et nous avons perdu malgré tout !

Alors de l’autre côté les Américains répondent :
– Eh bien nous, cela faisait 5 ans que nos meilleurs chirurgiens esthétiques travaillaient à donner l’aspect d’un teckel à un crocodile.

Le tarif des prostituées mexicaines

Dans une petite ville de la frontière Mexico-Américaine, un Américain entre dans un bordel.

Il choisit une jolie Mexicaine et s’informe des tarifs. La jeunette lui répond :
– C’est $50 pour une pipe, $100 pour le classique et $150 pour un « Monica »

L’Américain intrigué demande:
– Et qu’est-ce que c’est un « Monica » ?
– D’abord je te taille une pipe, et ensuite je te baise

Les horloges à conneries

Un journaliste de renom, grand chrétien, vient de disparaître et se présente devant Saint-Pierre. Il remarque, installées derrière le maître des lieux, une douzaine d’horloges sous lesquelles figurent des noms : « Jacques Chirac », « Jean Paul II »…

Curieux de nature, il n’hésite pas a demander :
– À quoi servent toutes ces horloges étonnantes, Saint-Pierre ?

Saint-Pierre explique aimablement :
– Ce sont les horloges de vie de tous les hommes importants de ce monde. A chaque fois que l’un d’entre eux dit une connerie, elle avance d’une heure.

Le visiteur remarque :
– Le Pape, Yeltsine, Chirac, Netanyahu, Tony Blair, Yasser Arafat… et meme Bill Gates ! Mais ou est celle de Georges W. Bush, c’est pourtant l’une des personnes les plus importantes sur terre…

Saint-Pierre, un peu confus, réplique :
– Oui, ne le répétez pas mais je l’ai installée sur mon bureau. Elle me sert de ventilateur !

Le prix Darwin : Fauteuil de chute (1996)

Les perles : le prix Darwin

Mississauga, Ontario : Un homme tomba de son balcon au 23ème étage d’un immeuble de Toronto en nettoyant une niche suspendue destinée aux oiseaux. Stefan Macko, 55 ans, se tenait debout dans son fauteuil roulant quand celui-ci s’avança et le précipita par-dessus la rembarde.
Source : Agence REUTER