– Quand je suis arrivé en France, raconte un Américain, je parlais bien votre langue mais il me manquait les gros mots. – Et comment les avez-vous appris ? – Très simplement. Je prenais un taxi. A l’arrivée, je payais le prix de la course et je donnais une pièce de 1 centime d’euro comme pourboire au chauffeur.
Vous connaissez la différence entre un président Français et un président Américain ?
Une relation extra conjugale d’un président américain, ça donne une tâche sur une robe, une relation extra conjugale d’un président français, ça donne une agrégée de philo.
Un américain de New York arrive en Irlande pour quelques jours de vacances. A l’aéroport de Dublin, il aperçoit un gars du cru qui se tient derrière une table où sont présentés des crânes humains. – Que faites-vous avec ça ? demande le touriste. – Je vends des crânes ! répond l’irlandais. – Et qu’est-ce qu’ils ont de spécial vos crânes ? demande le touriste. – Hé, j’ai les crânes des irlandais les plus renommés qui ont jamais vécu ! – Ah oui, donnez-moi quelques noms pour voir ! demande le touriste. – Celui-ci, c’est celui de James Joyce, l’auteur de romans et de pièces de théâtre… Celui-là, c’est celui de Saint Brendan, le navigateur… Celui-là, c’est Michael Collins le leader de la révolte de 1916 et celui-ci, c’est le plus important de tous, c’est celui de Saint Patrick, le Saint Patron de L’Irlande, Dieu ait son âme.. – C’est vraiment St. Patrick ? demande le touriste. – Bien sûr ! – Alors il me le faut ! répond le touriste et il paie à l’Irlandais le prix convenu, soit 500 Livres.
En rentrant à New York, le touriste qui est en fait patron d’un pub, accroche le crâne de St Patrick au mur de son établissement. Et les gens viennent de tout le pays pour voir le crâne de St Patrick, et grâce à ça, le patron fait rapidement fortune. Quelques années plus tard, le patron new yorkais décide de repartir en voyage en Irlande pour profiter de sa retraite. En arrivant à l’aéroport de Dublin, il reconnaît son vendeur de crânes, qui est toujours derrière son étalage, et qui vend toujours ses crânes. – Alors quoi de neuf ? demande le touriste. – Oh, je vends des crânes. – Et quels crânes avez-vous aujourd’hui ? demande le touriste. – Les crânes des Irlandais les plus fameux de l’histoire ! – Vraiment ? Allez, donnez-moi quelques noms ! demande le touriste. – Celui-ci, c’est celui de James Joyce, l’auteur de romans et de pièces de théâtre… Celui-là, c’est celui de Saint Brendan, le navigateur… Celui-là, c’est Michael Collins le leader de la révolte de 1916 et celui-ci, c’est le plus important de tous, c’est celui de Saint Patrick, le Saint Patron de L’Irlande, Dieu ait son âme… – Saint Patrick ? Vraiment Saint Patrick ? demande le touriste. – Exactement ! – Vous ne semblez pas vous en souvenir, mais il y a à peu près 7 ans, vous m’avez vendu un crâne un peu plus gros que celui-ci en m’affirmant que c’était le crâne de St Patrick… répond le touriste. – Ah oui ! Je me souviens de vous maintenant !…vous voyez… C’est que celui-ci c’est St Patrick quand il était jeune !
Dans les bureaux de la C.I.A. à Washington, un spécialiste de l’espionnage fait son rapport, après avoir testé son nouveau système d’écoute ultrasensible : – D’après les bruits horribles que nous avons enregistrés, ou bien les baleines du Grand Nord sont entrées dans leur saison des amours ou encore, à Paris, Johnny Hallyday vient d’enregistrer un nouveau disque.
Dans l’Ouest américain. Un shérif adjoint un peu con arrête un automobiliste pour excès de vitesse. L’automobiliste pressé tente de se défendre : – Mais, shérif, j’ai une explication, laissez-moi parler et vous verrez, vous me laisserez partir !
Le shérif répond : – Taisez-vous ! Je vous emmène au poste. là vous attendrez bien sagement que le chef soit de retour ! – Mais shérif, ce n’est pas possible… – Vous allez vous taire ! Je ne prendrai aucune décision sans l’accord de mon chef. On va aller l’attendre au poste.
Deux heures plus tard, le shérif adjoint s’adresse à l’automobiliste: – Vous avez de la chance que le chef est au mariage de sa fille: Quand il va rentrer il sera de bonne humeur ! – Ne comptez pas là-dessus, répond l’automobiliste. – Ah bon ? et pourquoi ? – Parce que son futur gendre, c’est moi, et qu’en ce moment, tout le monde m’attend à l’église.