blague alcoolisme
La maladie éthylique
– Gérard, dit une jeune femme, affolée, je viens de regarder dans le buffet. C’est terrible ! La bouteille de vieux cognac que nous avions précieusement mise de côté, pour le cas où l’un de nous serait malade, est entièrement vide. Qu’a-t-il pu se passer ?
– Précisément, ma chérie, répond le mari, avec une superbe désinvolture, la semaine dernière, j’ai été bien malade mais, avec mon bon cœur, je ne t’en ai rien dit pour ne pas t’inquiéter.
Toujours plus saoul
C’est un homme qui va dans un bar et qui demande :
– Deux grands whisky secs, s’il vous plaît.
Le barman les lui sert et le gars se les enfile l’un derrière l’autre.
Il paye, sort du bar et va dans un autre bar en marchant moins droit. Là, il demande :
– Un grand whisky sec, s’il vous plaît.
Le barman le lui sert et le gars se l’enfile.
Il paye, sort du bar et va dans un autre bar, en marchant un encore moins droit. Là, il demande :
– Un whisky sec, hips !
Le barman le lui sert et le gars le boit. Il paye et sort comme il peu du bar, en titubant.
Il rentre chez lui et en bas de l’immeuble, il sort de sa poche une petite flasque de whisky et s’en boit une grande lampée.
Après ça, il rampe dans l’escalier jusqu’à sa porte. L’ouvre comme il peu en tremblant et en mettant un bon moment à trouver le trou de la serrure. Il entre, va dans son salon, ouvre son bar, prend un verre à digestif et le remplit de whisky qu’il écluse en une gorgée.
De là, il se traîne jusque dans sa chambre, monte péniblement sur son lit, prend un dé à coudre sur la table de nuit qu’il remplit de whisky avec la flasque qu’il n’avait pas vidée. Et il boit cul sec tout le contenu du dé à coudre.
A ce moment là, il dit à sa femme :
– C’est t-t-tout de même cur-hips-ieux. Moins jjje bois, plus j’suis saoul.
Juste une question de breuvage
La femme d’un buveur invétéré raconte à une voisine :
– Mon médecin m’a donné un remède-miracle, pour guérir mon mari qui absorbe quotidiennement plusieurs bouteilles de beaujolais.
– Vraiment ?
– C’est un liquide amer qu’il suffit de verser dans le café du sujet à traiter.
– Vous l’avez essayé ?
– Oui. J’ai versé la potion dans le café du matin de mon mari.
– Et ça l’a guéri de boire ?
– Radicalement… de boire du café, tout au moins.