blague Albert Einstein

Le temps est relatif

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Le temps est relatif. C’est pas moi qui l’a dit c’est Albert.

Pourquoi Einstein n’a t il pas été plus loin dans sa théorie ?

En effet le temps est relatif. Par exemple, vous êtes dans votre V8, vous avez réservé dans un restau pour lever une belle à grands frais. Vous arrivez au bas de l’immeuble. À la sonnette, la belle vous dit :
– J’ai l’air d’un boudin, attends-moi 5 minutes je vais me repoudrer le nez.

Une heure après, vous avez encore le cul dans le skaï, à poireauter avec toute l’indulgence qui vous caractérise :
– Mais qu’est ce qu’elle fout cette conne ?

À ce moment-là, l’objet de vos investissements (400 balles de restau) apparaît avec un sourire d’ange :
– J’ai pas été trop longue ?
– Non non…, répondrez-vous avec mansuétude, on ira au restau demain.

Le lendemain, donc après vous être excusé auprès du 3 étoiles, renouvelé l’abonnement pour un repas en tête à tête avec l’objet de votre libido (ne pas confondre avec bide au lit), vous voilà de retour dans votre Cadillac, posté en bas de l’étage de la belle avec une heure d’avance. Un petit coup d’interphone, pour vous entendre dire :
– J’arrive, j’en ai pour 5 minutes mon gros Doudou.

Armé de l’expérience de la veille, vous pensez en vous-même : « 5 minute = 1 heure ».

Donc direction le bureau de tabac, pour un demi et un paquet de Gauloises.

Généralement, mais c’est pas toujours, c’est à ce moment là qu’il se met à pleuvoir, mais à pleuvoir. Vous faites donc le trajet plié en deux dans votre costard du dimanche et de location, avec le bouquet destiné à la belle en guise de parapluie.

Un paquet de gauloise, un demi et 2 flippers plus tard vous voilà de retour.

C’est là que viens s’ajouter l’axiome de Murphy qui dit que « Quand tout baigne, y en a forcément un qui coule ».

Car là, elle a exactement mis 5 minutes et pas un dixième de trop pour se remaquiller, se faire 2 mises en plis, vider la litière du chat, enfiler des bas résilles, un léger glaire pour donner du brillant au talons aiguilles et la voilà.

Elle est là, vous arrivez dégoulinant de honte, parce que la voiture étant fermée, la demoiselle s’est transformé en gremlins dégoulinant de pluie, accoudé à votre bolide avec un rictus évident de plutôt « mauvais poil ».

Vous ouvrez la voiture, elle s’y engouffre. Vous pensez : « C’est la dernière fois qu’elle mouille les sièges de mon palace à roulettes ». Vous susurrez un « Désolé » sans conviction.

Et vous voilà partis pour le restau, avec une heure d’avance.

Vous y arrivez aussi avec une heure d’avance. Ils ne servent pas encore.

Donc vous vous trouvez en gueule à gueule avec une Juliette spongieuse, séparés par une plantation de cacahuètes apéritives et un Kir sans saveur.

Que dire dans ces moments-là ? Vous qui comptiez lui parler d’amour, aviez appris par coeur comment Casanova assurait les 3-8, les poèmes de Verlaine pour faire rougir les roses, et les traits tirés de Don Juan. Vous envisagiez le méga slow après la bouffe, ponctué d’une baise sur le piano à queue comme dans Pretty Woman, et vous voilà devant un mannequin sapé façon pute, à vous demander :
« Le fait qu’elle soit venu quand même semble démontrer que ses services me sont acquis, mais vu la gueule qu’elle fait pour 2 petites gouttes de pluie, elle doit pas rigoler en sortant de la douche ». et « Elle bronche pas d’un mot, la pipe va pas être facile à négocier ».

C’est là qu’apparaît le côté relatif des choses.

En effet vous lui dites tout de go : « On va s’en tirer une petite en attendant la bouffe ? » et vous vous en prenez une, qu’un observateur placé dans un référentiel extérieur au système aura du mal à évaluer la vitesse, ou vous vous faites chier à ramer pour corriger le tir, pour qu’à la fin de la soirée vous vous quittiez comme les meilleurs amis du monde, (chacun sa route ) en espérant qu’il n’est pas trop tard pour le porno sur Canal +.

Toutes les lois de la physique sont identiques dans tous les repères inertiels, et le principe de l’invariance de la vitesse de la lumière, selon lequel la vitesse de la lumière dans le vide est une constante universelle.

Les cours du soir

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Deux ouvriers prennent leur pause de midi, le premier fait :
– Tu connais Victor Hugo ?
– Non.
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !

Le lendemain, toujours le même :
– Tu connais Albert Einstein ?
– Non.
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !

Le surlendemain, ça recommence :
– Tu connais Karl Marx ?
– Non.
– T’as tort, tu devrais suivre les cours du soir !

Alors l’autre tout énervé fait :
– Et toi, tu connais Jean Dupont ?
– Non ???
– T’as tort, c’est celui qui baise ta femme pendant que tu suis les cours du soir !

George W. Bush, Einstein et Picasso au Paradis

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Einstein arrive au Paradis, et devant la porte d’accès se trouve Dieu qui lui demande :
– Nom, prénom, profession ?

Einstein répond :
– Einstein, Albert, physicien.

Dieu lui dit :
– Il y a beaucoup de personnes qui se sont fait passer pour Albert Einstein, donc il me faut une preuve de votre véritable identité.
– Donnez-moi un tableau et une craie, dit Einstein.

Dieu claque des doigts et Einstein se retrouve devant le tableau, sur lequel il fait la démonstration complète de la théorie de la Relativité. Dieu est épaté, et lui donne le droit d’accès.

Quelques temps plus tard, Picasso se pointe devant la porte du Paradis. Dieu s’adresse à lui :
– Nom, prénom, profession ?
– Picasso, Pablo, artiste.
– Il y a beaucoup de personnes qui se sont fait passer pour Picasso, donc comme Einstein l’a fait, donnez une preuve de votre véritable identité.

Picasso demande une toile et des pinceaux, Dieu claque des doigts, et Picasso refait une de ses plus belles toiles période bleue. Dieu le félicite, et lui donne le droit de passage.

Bien plus tard, George W. Bush se pointe au Paradis et, est arrêté par Dieu, qui lui demande :
– Nom, prénom, profession ?
– Bush, George W., ex-président des Etats-Unis.
– Ok, fait Dieu, mais beaucoup de personnes se sont fait passer pour George W. Bush, donc comme l’ont fait Einstein et Picasso, il me faut une preuve de votre identité.

Bush le regarde et lui demande :
– C’est qui Einstein et Picasso ?

Et Dieu lui répond :
– C’est bon George, tu peux rentrer…..

Qui était vraiment Einstein ?

– Pouvez-vous, demande l’animateur d’un jeu télévisé à un concurrent, me dire qui était Einstein ?
– Certainement. C’était un savant fou qui a fabriqué un monstre auquel il a donné la vie.
– Pas du tout.
– Attendez : il faudrait être précis. En parlant d’Einstein, vous pensiez peut-être à Albert. Moi, je vous parle de Franck.