blague Albert Einstein
La blague de la relativité
On demandait un jour à Einstein d’expliquer sa théorie de la relativité en des termes tels qu’un individu de base puisse le comprendre :
« Eh bien, répondit-il, je me trouvais un jour à la campagne, à me promener avec un de mes amis qui était aveugle. La journée était chaude, et je lui dis que j’aimerais bien me rafraîchir en buvant un grand verre de lait froid.
– Du lait ? me répondit mon ami ; boire et froid, je comprends, mais qu’est-ce que le lait ?
– Un liquide blanc, lui répliquai-je.
– Liquide, je comprends, mais qu’est-ce que blanc ?
– C’est la couleur des plumes du cygne.
– Plume, je comprends, mais qu’est-ce qu’un cygne ?
– Un oiseau avec un cou coudé.
– Cou, je comprends, mais qu’est-ce que coudé ?
Avec délicatesse, je lui pris le bras, et je le lui tendis :
– Comme ça, c’est droit, lui dis-je ; après je le lui fis plier à la jointure : ça, c’est coudé.
– Oh, s’exclama l’aveugle, maintenant je comprends ce que vous entendez par « lait ». »
La blague du chauffeur d’Albert Einstein
Albert Einstein faisait une tournée de conférences dans les universités américaines à bord d’une voiture toujours conduite par le même chauffeur. Ce dernier lui dit un jour :
– Maître, j’ai assisté à tant de vos démonstrations et je connais tellement votre cours que je crois que je serais capable d’expliquer aux étudiants votre théorie !
– Vous me donnez une idée. Nous allons changer de rôles. Donnez-moi votre casquette et votre veste. Je vais conduire et vous tiendrez la séance aujourd’hui !
Ce qui fut dit fut fait. Le chauffeur s’installe à la chaire dans l’amphithéâtre, commence le cours jusqu’à ce qu’un étudiant zélé lui pose une question :
– Maître, dans votre théorie E = MC2, que se passerait-il si on inversait la dernière partie des facteurs ?
– Jeune homme, c’est tellement simple que ce n’est pas moi qui vais vous répondre mais mon chauffeur !