blague aggravation

La blague du temps judiciaire

Au cours d’un procès, une femme coquette et qui fait tout pour ne pas paraître son âge, est appelée à la barre des témoins.
– Vous êtes bien madame Martin ? demande le président.
– Oui, monsieur le président.
– Pouvez-vous nous dire votre âge ?

La dame ne bronche pas. Un lourd silence envahit la salle d’audience.
– Madame, répète le président, veuillez nous dire votre âge.

Le silence se prolonge.
– Allons, madame, dit le président. Décidez-vous ! Tout ce temps perdu ne fait qu’aggraver les choses…

Inondation de cuisine

Dans la cuisine inondée, la maîtresse de maison se désole. Appelé d’urgence, le pompier s’efforce de l’apaiser :
– Voyons, madame, calmez-vous ! En pleurant, vous ne faites qu’aggraver les dégâts

Le condamné en colère

À l’aube, dans une prison américaine, on ouvre la porte de la cellule d’un condamné à mort. Face à lui, il aperçoit le directeur de la prison, le juge, le pasteur et son avocat.
– Soyez courageux, dit le directeur. Votre recours en grâce a été rejeté par le gouverneur…
– Quoi ? hurle le prisonnier. Il a fait ça, cet enfoiré ? Ce minable, ce taré, cette ordure, cet enculé !
– Arrêtez, lui souffle son avocat. Vous aggravez votre cas.

La colère du condamné

L’avocat entre dans la cellule de son client, condamné à mort, en compagnie du juge d’instruction, et lui annonce :
– Votre grâce a été refusée. J’ai le triste devoir de vous apprendre que vous monterez demain sur l’échafaud.
– Quoi, hurle le condamné, une énorme brute aux yeux injectés de sang. Quoi, quoi, quoi ? On me refuse ma grâce ?

Et la colère montant en lui, il attrape le juge d’instruction et le roue littéralement de coups.
– Tiens, salaud. C’est de ta faute, ça, hein ? Eh bien, prends ça !

Le juge d’instruction est groggy.
– Arrêtez ! crie l’avocat à son client. Vous n’allez réussir qu’à aggraver votre cas.