blague Afrique

Le Belge, le pygmée et le crocodile

Un belge visite l’Afrique avec un guide pygmée. Soudain, les voilà arrivés devant un fleuve.

Le pygmée :
« Bouanana, on ni peut pas t’ave’se’, ! »

Le Belge :
« Et pourquoi une fois, il y a des pierres, il n’y a qu’a marcher dessus ! »

Le pygmée :
« NONON Boouanana, c’est pas des pie’rres, ces des c’ocodilles, bouanana dis-donc ! »

Le Belge :
« Allez une fois, tu m’en raconte hein ? »

Le pygmée :
« NONON Bouanana, rega’de ! »
Et le pygmée lance un caillou sur ce qui ressemble à une pierre. Soudain, le crocodile se réveille, ouvre grand la gueule et fonce vers nos hommes.

Le pygmée en se sauvant :
« Baounana, dis dont cou’s, y va te BOUFFER ! »

Et le belge bien calme au bord du fleuve :
« Eh là une fois, c’est pas moi qui ai jeté la pierre ! »

Le pape et les putes africaines

C’est le pape qui revient d’une visite en Afrique.

Il descend de l’avion avec une splendide noire à chaque bras.

Seulement, si vous voyez ce que je veux dire, les femmes n’ont pas l’air d’être de très grande vertu…

Le cardinal qui le reçoit à l’arrivée ouvre des yeux ronds :
– Mais votre sainteté, ce sont des putes !
– Des putes ! des putes ! Oui… Mais de Tanzanie !

La blague d’IBM au Zaïre

KABINDA, ZAÏRE

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Dans un geste que les officiels d’IBM ont qualifié de percée majeure dans l’actuelle révolution mondiale des télécommunications menée par la compagnie, M’wana Ndeti, un Bantou du Zaïre, a utilisé hier un modem « IBM global uplink network » pour ouvrir une noix.

Ndeti, qui a tenté pendant vingt minutes de casser la noix à mains nues, l’a écrasée facilement en la frappant à plusieurs reprise avec le puissant modem.

« Je n’arrivais pas a ouvrir la noix par moi-même », a affirmé l’homme de 47 ans, qui a ajouté la savoureuse noix à un épais bouillon à base d’arachides quelques instants plus tard. « Avec l’aide d’IBM, j’ai réussi à la casser ». Ndeti avait découvert ce casse-noisettes, le modem 28.8 V.34, alors qu’IBM filmait un commercial dans son village du sud-ouest du Zaïre. Pendant un arrêt dans le tournage, qui montrait des villageois africains dans une téléconférence passionnée avec des écoliers japonais via l’ordinateur, Ndeti s’est faufilé sur le plateau et s’est empare du modem, afin de s’en servir comme ustensile contondant.

Les officiels d’IBM n’ont pas été surpris que l’immuable géant de l’ordinateur ait pu fournir à Ndeti des solutions pratiques à ses problèmes quotidiens. « Nos systèmes de télécommunications offrent aux gens de partout à travers le monde des solutions de réseau global qui correspondent à leurs besoins spécifiques », a précisé Herbert Ross, le directeur du marketing chez IBM. « Que vous soyez une soeur cloîtrée dans un couvent italien ou un aborigène dans le Grand Désert de Sable d’Australie, IBM a les idées pour vous conduire là où vous souhaitez vous rendre aujourd’hui. »

Selon Ndeti, parmi toutes les caractéristiques impressionnantes du modem, la plus remarquable est son solide boîtier de plastique, qui a survécu sans peine à plusieurs minutes de pilonnage vigoureux contre une grosse pierre. « J’ai mis la noix sur une roche, et je l’ai frappée avec le modem », a dit Ndeti. « Le modem n’a pas cassé. C’est un bon modem. »

Ndeti a été tellement impressionné par le modem qu’il s’est procuré une nouvelle station de travail IBM, complètement équipée avec un microprocesseur PowerPC 601, un lecteur CD-ROM octuple vitesse et trois connecteurs de réseau ethernet 16-bit. L’indigène a déjà fait bon usage du système informatique, confectionnant un piège à gazelles avec le câblage, une ancre à bateau avec l’écran et une arme primitive mais efficace avec sa souris.

« C’est un bon ordinateur », a commenté Ndeti, ouvrant avec le processeur interne, plat et tranchant, une gazelle fraîchement capturée. « J’utilise chacune de ses parties. Je vais faire cuire cette gazelle sur le clavier. » Quelques heures plus tard, Ndeti a couronné son délicieux souper de gazelle en fumant les deux cents pages du manuel de l’utilisateur.

Les porte-parole d’IBM ont vanté le choix d’ordinateur fait par Ndeti :
« Nous sommes heureux que les Bantous fasse confiance à IBM pour leurs besoins d’affaires », a conclu William Alaire, CEO de la compagnie. « De Kansas City à Kinshasa, IBM rapproche le monde. Notre technologie d’avant-garde est vraiment en train de créer un village global ».

Le bataillon de paras qui revient d’une mission en Afrique

Un bataillon de paras revient d’une mission de 6 mois en Afrique. Ils sont tous félicités, un par un, par le général qui a un petit mot ou une question pour chacun.

– Avez-vous eu peur ?
– Non mon général, des paras comme nous n’ont peur de rien.

– Qu’auriez-vous fait si votre parachute ne s’était pas ouvert ?
– Je serais descendu en chercher un autre, mon général, parce des paras comme nous ne vont pas se faire emmerder par un parachute !

Il passe ainsi tous les gars en revue en y allant de sa petite question.

Arrivé à l’avant dernier para il est à cours d’idée. Ce para mesure 2 m et est drôlement bien baraqué. Il fini par lui demander :
– Faisiez-vous l’amour de temps en temps ?
– 5 a 6 fois par jour pour général. C’est normal mon général. Des paras comme nous ont la santé !

Arrivé au denier, le petit gringalet du groupe, le général pose la même question. Le para lui répond :
– 5 à 6 fois sur les 6 mois mon général.
Le général, très surpris lui dit son étonnement :
– Pour un para vous m’étonnez.
– Je comprends votre étonnement, mon général, pour un para normal c’est peu, mais pour l’aumônier, c’est pas mal.