blague Afrique

La blonde qui revenait d’Afrique

C’est une blonde qui revient d’un voyage en Afrique et va montrer les photos qu’elle a prises là-bas à sa grand-mère. Celle-ci est un peu sourde.
– Alors, comment c’était, l’Afrique ? lui demande-t-elle.
– Oh là là ! C’était super, je t’assure ! Tiens regarde, par exemple, il y a des oranges, des ananas énormes, gros comme ça ! Et des bananes gigantesques comme ça !
– Oui, bon, ça c’est pas mal, mais est-ce qu’au moins ce jeune homme a une bonne situation ?

La blague du prix des cerveaux

blague métier, blague avocat, blague afrique, blague prix, blague cerveau, blague récolte, humour drôle

Un sous-officier de la marine débarqué à Djibouti, se dirige vers un
« Djou-djou market » (marché africain où l’on vends des objets magiques).

Sur un stand, il y a des bocaux dans lesquels baignent des cerveaux. Le vendeur promet que le client qui ingère l’un de ces cerveaux sera immédiatement aussi intelligent que feu leur propriétaire.

Notre officier de marine plonge sans hésiter la main dans sa poche pour découvrir que sa fortune se limite à 10 dollars. Attiré par une cervelle de belle taille, il interroge le vendeur :
– Quel est le prix de ce cerveau ?
– C’est le cerveau d’un chercheur, il coûte 10 000 dollars.
– Et celui-ci ? demande-t-il à propos d’un cerveau plus petit.
– C’est un très beau cerveau, celui d’un médecin ; seulement 7000 dollars.

Découragé par le prix excessif du cerveau du chercheur, puis du médecin, il est tenté de renoncer quand il aperçoit un cerveau minuscule au bout de l’échoppe.
– Combien me coûtera ce cerveau ridicule ? demande-t-il au vendeur.
– Ce cerveau coûte 200 000 dollars, c’est le cerveau d’un avocat.
– Voyons, comment un si petit cerveau peut-il coûter aussi cher ?
– Mon pauvre ami, lui répond le vendeur, vous n’avez pas idée du nombre d’avocats qu’il nous a fallu tuer pour récolter ces petits bouts de cervelles.

Je baise les femmes blanches

En Afrique, trois blancs (disons un français, un canadien et un belge) sont accoudés à un bar et sirotent leur whisky. Soudain, la porte s’ouvre avec fracas et un gigantesque noir de 2 mètres, bâti comme un bulldozer entre dans le bar. Il s’approche du français, lui boit son verre, et lui dit :
– Moi, les femmes blanches, je les baise !
– Pas de problème, c’est cool ! répond le français vert de trouille.

Puis le noir n’approche du canadien, lui boit son verre et lui dit :
– Moi, les femmes blanches, je les baise !
– C’est super chouette pour vous, répond le canadien en bégayant.

Enfin, le noir s’approche du belge, lui boit son verre et lui dit à nouveau :
– Moi, les femmes blanches, je les baise !
– Tu as bien raison, répond le belge, moi aussi je trouve les femmes noires répugnantes…

Le père blanc dans l’école de brousse

C’est un père blanc qui donne des cours dans une école de brousse à Lambaréné et ils apprennent le corps humain. Il interroge un premier élève :
« Où est l’estomac ? »
L’élève se tape sur la main.

A un autre : « Où est l’estomac ? », l’élève se tape sur la poitrine.

« Personne peut me répondre ? » Un élève se lève et se tape sur le ventre.

« Bravo ! toi t’es intelligent ! »

« Hé ! » dit le noir en se tapant le front du doigt, « y en a dans le tibia ! »