blague accidents

Sens pratique

Pour économiser l’argent du permis de conduire, Abraham apprend à conduire à sa femme Sarah.

Dans une descente, les freins lâchent :
– Mon Dieu, Abraham ! Que dois-je faire ?
– Garde ton sang froid, et essaye de défoncer quelque chose qui soit bon marché…

Le Pen, son chauffeur et le cochon

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Le Pen et son chauffeur passant sur une petite route de campagne en voiture, percutent accidentellement un cochon qui traversait.

Le Pen dit à son chauffeur de se rendre dans la ferme d’où sortait le cochon pour aller s’excuser auprès du fermier. Le chauffeur sort de la voiture et frappe à la porte d’entrée. On ouvre au chauffeur et on le laisse rentrer.

30 minutes passent passent… Puis une heure et toujours pas de chauffeur !

Le Pen commence à s’impatienter et envisage même le pire pour son chauffeur, lorsqu’il le voit enfin sortir de la maison « tout sourire », faisant force signes de la main aux autochtones.

Alors Le Pen lui demande pourquoi il a été si long, et la chauffeur lui répond :
– Eh bien, c’est parce que d’abord le fermier m’a serré la main, puis il m’a offert une bière, ensuite sa femme nous a sorti des petits gâteaux, et pour finir, la fille de la maison m’a embrassé !

Du coup Le Pen demande :
– Mais qu’avez-vous dit à ce fermier ?

Le chauffeur lui répond :
– Je lui ai dit que j’étais le chauffeur de Le Pen, et que j’avais tué le cochon.

Les accidents dans l’asile psychiatrique

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Un inspecteur envoyé par le ministère de la Santé vient faire une visite d’inspection dans un hôpital psychiatrique. Il est spécialiste en sécurité, et demande donc à voir le registre des accidents de l’hôpital, que le directeur lui donne donc.

La troisième cause d’accidents est la chute dans les escaliers. « Classique », dit l’inspecteur visiblement habitué : vous placerez des grillages au dessus de la rampe d’escalier pour éviter des accidents semblables. Le directeur prend note.

La deuxième cause d’accidents est la défenestration. L’inspecteur trouve également cela « classique » et impose donc au directeur la pose de barreaux aux fenêtres. Là encore, le directeur en prend bonne note.

Mais la première cause d’accidents est inscrite sur le registre avec le terme : « le figuier ». L’inspecteur est interloqué et demande au directeur de quoi il s’agit. Le directeur le prie de bien vouloir le suivre dans le jardin de l’hôpital pour qu’il se rende compte de lui-même de quoi il s’agit. Et voilà le spectacle – commenté par le directeur :
« Les malades grimpent habilement au tronc du figuier, puis ils s’accrochent à des branches, parfois pendant des heures… puis, subitement, ils se laissent tomber en criant : JE SUIS MÛR ! »

Les conseils du Président

– Qu’est-ce qui vous arrive ? demande un banlieusard à son voisin qu’il voit sortir de chez lui, la tête bandée et les bras soutenus par deux béquilles.
– Ah ! Ne m’en parlez pas ! Et encore vous n’avez pas vu ma femme ! Et tout ça à cause du président de la République.
– Comment cela ?
– Vous n’avez pas entendu son allocution, à la télévision l’autre jour ?
– Si, mais je ne vois pas le rapport.
– Eh bien, dans cette allocution, il avait dit « Français, Françaises, faites des enfants sur une grande échelle ». On a voulu essayer, ma femme et moi. Et c’est comme ça qu’on s’est cassé la gueule.