blague à l’improviste

La blague des mites

Un voyageur de commerce rentre chez lui à l’improviste et, bien sûr, trouve sa femme nue dans son lit. Furieux, il se rue vers la salle de bains et y découvre un type, également tout nu, en train de vaporiser de l’insecticide autour de lui.
– Qu’est-ce que vous foutez là, vous ? hurle le mari.
– Bonjour monsieur, répond l’autre, très calme. Service d’hygiène municipale. On a signalé une invasion de mites dans votre immeuble. Je suis venu les détruire.
– Et vous êtes forcé de faire ça à poil ?

L’amant regarde le mari avec des yeux ronds, puis baisse les yeux sur lui-même et s’écrie :
– Ah, les sales bêtes ! Elles ont bouffé mon uniforme, dites donc !

Le journal au boulot

Surgissant à l’improviste dans le bureau de l’un de ses employés, un patron trouve ce dernier en train de dormir, avachi dans son fauteuil, un journal sur les yeux.
– Qu’est-ce que vous fabriquez ? hurle-t-il.
– Euh… Je lisais les cours de la Bourse, monsieur, répond l’employé d’une voix pâteuse.
– Très bien. Tant que vous y êtes, quand vous en arriverez aux pages des petites annonces, regardez bien les offres d’emploi…

L’affreuse méprise

La femme d’un homme d’affaires entre à l’improviste dans son bureau :
– Salaud, je t’y prends à faire l’amour avec ta secrétaire.
– Je t’en prie, ma chère, tu fais une grosse méprise.
– Comment, je te surprends avec cette créature à qui tu as enlevé son soutien-gorge et son slip, et tu vas nier ?
– Mais non, ce n’est pas ça.
– Dans ce cas, pourquoi dis-tu que c’est une grosse méprise ?
– Parce que ce n’est pas ma secrétaire mais celle de mon associé.

La nudité fautive

Un type rentre chez lui à l’improviste :
– Ça ne va pas, non ?
– Pourquoi ?
– Qu’est-ce qui te prends de venir m’ouvrir la porte toute nue ?
– C’est de ta faute… Tu as sonné trois fois, exactement comme le facteur.

Le cocu du patron

Un type rentre chez lui à l’improviste. Il trouve sa femme au lit avec le chef de l’entreprise qui les emploie tous les deux. Il prend une chaise et la balance contre le mur de la chambre. Puis, en larmes, il se jette par terre sur le ventre et tambourine le sol de ses deux poings en lançant un tas d’insultes à l’intention des amants.

Sa femme, bras croisés sur son torse nu, et soufflant la fumée d’une bouffée de cigarette :
– Voyons chéri, un peu de tenue… On a du monde !