Le conseiller personnel de Chirac vient de mourir. Les bons conseils n’avaient jamais été son fort, mais le président l’aimait bien et lui faisait toujours confiance (sic) et les deux hommes étaient toujours restés d’excellents amis.
Le jour des obsèques, Nicolas Sarkozy se fraie un chemin jusqu’au chef d’état. Il lui glisse à l’oreille :
« Monsieur le Président, y a-t-il une chance que je puisse prendre la place de votre conseiller ? »
« Certainement, » répond Chirac, « mais vous devriez vous dépêcher : je pense que les fossoyeurs ont presque terminé. »