Si loin sous d’autres cieux
Mon étoile s’en allait
Me laissant ses adieux
Et une immense plaie
Me manquent son sourire,
Ses joies, son air mutin
Ses peines et ses soupirs,
Son regard le matin
Le vieux fou que je suis
Te verra-t-il encore
Et la larme que j’essuie
Est-elle versée à tort ?
Lazzi
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