Un jeune homme, venu présenter ses vœux le premier de l’an à son parrain dont l’avarice est proverbiale, lui dit :
– Mon cher parrain, figurez-vous que j’ai rêvé une chose agréable.
– Ah ! Et quoi donc ?
– Que… vous me prêtiez cent euros.
– Eh bien ! Mon cher filleul, garde tout. Inutile de me rembourser.