Quand j’ai mal, solitaire et inconscient,
Quand j’ai peur, délétère et survivant
Un refrain dans mon cœur, dans mon esprit :
Où es-tu, toi qui un jour est partie ?
Quand je pleure, quand mon cœur, blessé grave,
Verse son dernier sang, un goût suave,
Un fiel dont on veut tuer mon âme :
Où es-tu, l’amour que je déclame ?
Un jour sans toi et je meurs une fois,
Des siècles écoulés depuis ce jour,
De la résurrection donne-moi l’emploi.
Et moi j’ai cru, j’ai pensé, pauvre fou,
Pouvoir retenir mes larmes toujours,
Où es-tu ? Où es-tu ? Où es-tu ? Où ?
Lazzi
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