Une vieille légende urbaine :
Quand Neil Armstrong, l’astronaute de la mission Apollo 11, marcha sur la lune pour la première fois, il déclara :
– C’est un petit pas pour l’homme, mais un grand bond pour l’humanité.
Ce ne fut pas la seule chose qu’il déclara : Alors qu’il était en pleine conversation avec Houston, il ajouta :
– Bonne chance Monsieur Gorsky.
Cette phrase resta une énigme très longtemps, surtout que les gars de la NASA avaient d’abord pensé que le Gorsky en question était un cosmonaute du programme russe… Mais après vérification, aucun Gorsky n’exerçait la fonction de cosmonaute ni en Russie, ni aux USA.
Pendant des années, les journalistes qui interviewaient Armstrong ne manquèrent pas de demander à chaque fois ce que le « Bonne chance M. Gorsky » signifiait… mais sans obtenir la réponse.
Le 5 Juillet 95, alors qu’un reporter lui posait à nouveau la question, Armstrong répondit :
– Monsieur Gorsky est mort maintenant. Je vais pouvoir répondre à votre question : Lorsque j’étais gosse, j’avais l’habitude de jouer au basket dans le jardin. Un jour, la balle atterrit dans le jardin du voisin ; Au moment où j’allais la ramasser dans leur jardin, je suis passé devant la fenêtre de la chambre à coucher de M. et Mme Gorsky, nos voisins. Et là, j’ai pu entendre madame Gorsky qui disait à monsieur Gorsky : « Une fellation ? Tu veux que je te fasse une fellation ? Je t’en ferai une le jour où le gosse du voisin marchera sur la lune ! »