Dans un atelier clandestin de la rue du Sentier où des émigrés sans-papiers piquent, pendant seize heures par jour, à la machine, pour confectionner des pantalons à un rythme affolant, une pancarte avertit les usagers des toilettes :
« Quand vous vous serez soulagé, lavez les doigts qui vous restent avant de retourner au boulot ».