Un mari brimé fantasme en contemplant la superbe héroïne d’un feuilleton télévisé qui évolue dans sa cuisine, à peine vêtue d’une courte chemise de nuit transparente.
– Ah ! Soupire-t-il, ce que ce serait bon qu’elle vienne, un matin, me servir mon petit déjeuner au lit !
– Et qu’exigerais-tu d’elle ? demande aigrement sa femme.
– Deux sucres dans mon café.