Un parisien, invité à déjeuner chez des amis agriculteurs, remarque qu’un cochon gambade dans la cour de la ferme, avec une jambe de bois. Il s’adresse au cultivateur et lui en demande la raison. Il répond alors :
– Ho, tu sais, ce cochon, nous l’avons élevé nous-même et nous l’aimons bien, tout autant que le chien ou le chat ; nous n’avons pas le cœur de le tuer alors nous le mangeons petit à petit.