C’est pendant la guerre en Bosnie. Les gens n’ont plus rien à manger. Certains en arrivent même à manger leur chien et c’est ce que fait une famille. Le soir à table, tout le monde a mangé sa petite part de chien qui était déjà bien maigre. Et le père, la larme à l’oeil, dit en voyant tous les os restant dans le plat :
« Ah si ce brave Médor était là, il se régalerait ! »