Un joueur était allé voir un psychanalyste qui se fit fort de le guérir de son vice. Effectivement, après un traitement de deux ans, à raison de trois séances par semaine, le psychanalyste eut la joie d’annoncer à son patient :
– Ça y est, je vous ai complètement détourné de votre passion du jeu.
– C’est magnifique ! Docteur, fêtons cela en allant boire un verre.
– D’accord, approuve le psychanalyste. Mais pas question de vous laisser payer les apéritifs ! On va les jouer au 421.