Il y a quelques lustres de cela, dans un petit village du centre de la France, un gars avait une grave intolérance digestive. Le docteur lui avait alors prescrit une cure biquotidienne de lait de femme.
Ça tombait bien, parce que à cette époque, dans le village, il y avait une tripotée de jeunes femmes au caractère laitier marqué (comme disent les éleveurs de vaches laitières) qui venait d’accoucher.
En ces temps là, il n’était pas question de trayeuse, et le seul moyen de boire du lait de femme, c’était d’aller le téter à la source…. Ce que toutes les jeunes femmes n’étaient pas prêtes à accepter lorsqu’il s’agissait d’un adulte téteur et non d’un petit bébé !
Mais après plusieurs demandes restées infructueuses, l’homme trouva enfin une nourrice (dont le mari ne pouvait être jaloux puisqu’il l’avait abandonnée) prête à lui donner la tétée moyennant finances.
Le premier jour fût un peu délicat pour tous les deux. L’homme ne sachant trop comment téter sans faire mal à sa nourrice, la nourrice ne sachant comment se mettre pour ne pas « tenter le diable ».
Mais finalement, au bout de quelques jours, les choses allèrent beaucoup mieux.
A tel point qu’un beau matin, la nourrice réalisa que donner le sein à cet homme d’âge mûr lui procurait un intense désir sexuel… Aussi, alors que l’homme était en train de presser le téton consciencieusement, elle lui dit d’une voix sensuelle et remplie de désir :
« Et, il n’y a pas quelque chose d’autre qui te ferait plaisir ? »
Le gars s’arrêta de téter, la regarda dans les yeux et lui dit :
« Je pourrai avoir un biscuit avec mon lait ? »