Dans un petit village, une coutume ancestrale consistait à formuler un vœu tout en jetant une pièce de monnaie dans le « Puit aux désirs ». Un jour, le maire fit placarder cet avis :
« En raison d’une pollution de la nappe phréatique, l’eau de ce puits est devenue impropre à la consommation. La municipalité dégage donc toute responsabilité en ce qui concerne la réalisation de vos souhaits ».