Le petit Théo demande à sa maîtresse s’il peut lui parler après le cours. Elle accepte.
La maîtresse :
– Alors, que veux-tu me dire, Théo ?
– Je pense être trop intelligent pour rester dans cette classe, je m’embête ! Je voudrais passer directement au lycée.
Sur ce, le directeur informé, demande à Théo s’il veut bien passer des tests. Il accepte sans hésiter et le directeur commence le test :
– Voyons voir Théo, 3 X 4 ?
– Douze !
– Et 6 X 6 ?
– Trente-six, Monsieur le directeur.
– Capitale du Japon ?
– Tokyo !
Le test continue pendant une demi-heure, de plus en plus difficile, et Théo ne fait aucune erreur !
À la fin du test, le directeur est satisfait mais la maîtresse demande si elle peut à son tour lui poser des questions. Tous deux acceptent et elle commence :
– Bon Théo, la vache, elle en a 4 et moi j’en ai 2, qu’est-ce que c’est ?
– Les jambes, Madame.
– Correct. Qu’est-ce qu’on trouve dans tes pantalons et pas dans les miens ?
Le directeur s’étonne de la question… mais Théo répond sans hésiter :
– Des poches, Madame.
– Bien, Théo. Qu’est-ce que les hommes et les femmes ont en plein milieu et qui est en double ?
Le directeur se prépare à intervenir lorsque Théo répond :
– Les deux « M », Madame.
– Où est-ce que les femmes ont les poils les plus frisés ?
– En Afrique Madame…
– Qu’est-ce qui est mou mais qui, aux mains d’une femme, devient dur ?
Le directeur ouvre grands les yeux mais Théo répond :
– Le vernis à ongles, Madame.
– Qu’est-ce que les hommes et nous les femmes, nous avons au milieu des jambes ?
– Les genoux !
– Bien. Et qu’est-ce qu’une femme mariée a de plus large qu’une femme célibataire ?
Le directeur n’en croit pas ses oreilles et s’apprête à interrompre le questionnaire, mais Théo répond toujours, imperturbable :
– Le lit, Madame.
– Quelle est la partie de mon corps qui est souvent la plus humide ?
– Votre langue, Madame.
– Quel mot commençant par la lettre « c » désigne quelque chose qui peut être humide ou sec et que les hommes aiment regarder ?
– Le ciel !
Le directeur soufflant, transpirant comme un sauvage, décide d’arrêter le test et s’exclame :
– Ce n’est pas au lycée que je vais t’envoyer mais directement à l’université ! Même moi, je l’aurais complètement raté ce test…
Morale de l’histoire : c’est avec l’âge que l’on devient pervers !