Le père d’un citoyen belge exilé en Australie vient de mourir. Malheureusement, des obligations dans ce pays vont l’empêcher de prendre l’avion pour assister aux obsèques (sa femme est à l’hôpital). Alors il appelle son frère cadet en Belgique, et il lui dit :
– Ecoute, fais quelque chose de bien pour papa de ma part. Je te laisse choisir. Tu n’auras qu’à m’envoyer la facture.
Un mois plus tard, il reçoit une facture de 200 euros, provenant d’un tailleur bruxellois. Il paie cette facture. Le mois suivant, il reçoit à nouveau une facture de 200 euros qu’il ne paie pas, pensant qu’il s’agit d’une erreur. Mais les mois suivants, de nouvelles factures de 200 euros, ainsi que des rappels pour les factures précédentes non payées arrivent…
À ce moment, l’australien passe un coup de fil à son frère cadet et il lui demande :
– Dis-moi, qu’est-ce que tu as fait quand je t’ai demandé de faire quelque chose pour papa lors de ses obsèques ? Je n’arrête pas de recevoir des factures d’un tailleur !
Et le frérot répond :
– Ben tu m’avais dit de trouver quelque chose de bien pour papa, et tu sais comme ça lui plaisait de toujours être bien habillé… Alors je lui ai loué un smoking.