Fumée bleue qui peu à peu me détruit
Fumée douce qui brûle sur son passage
Car c’est la mort, bâton, que tu produis
Ne cédons pas à cet aérophage
Regardez les hordes de ceux qui meurent
Pour t’avoir cru, t’avoir cédé une fois,
Pour avoir tes quelques instants de bonheur
Tu as été une tentation pour moi
J’ai été, bâton, un de tes suppôts.
En échange de ma foi, qu’as-tu offert ?
Peu de fumée pour une vie d’enfer
Je te renie, tu n’es qu’un fantôme.
Ma volonté deviendra mon heaume
Et ma vie ne sera plus ton impôt.
Lazzi
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