C’était moi le fantôme
Qui troublait le repos
Qui sentait l’arôme
Que dégageait ta peau
Toi qui es sensible
A la vie, au malheur
Je t’ai vu paisible
Et loin de toute peur
La nature était paix
Vous étiez communion
Et dans votre palais
Vous étiez compagnon
Puis vous êtes partis
En laissant dans mon cœur
Un rêve de paradis
Le regret qui affleure
Lazzi
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