En cette forêt – 4

C’était moi le fantôme
Qui troublait le repos
Qui sentait l’arôme
Que dégageait ta peau

Toi qui es sensible
A la vie, au malheur
Je t’ai vu paisible
Et loin de toute peur

La nature était paix
Vous étiez communion
Et dans votre palais
Vous étiez compagnon

Puis vous êtes partis
En laissant dans mon cœur
Un rêve de paradis
Le regret qui affleure

Lazzi

ATTENTION : Ce texte est une œuvre originale, déposée auprès de la SGDL. Toute reproduction sans accord préalable de l’auteur est strictement interdite.

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