Blagues

La maison de l’Arabe

Deux amis Marseillais, Dominique et Mouloud, possèdent exactement les mêmes villas dans le même lotissement. Tous deux étant mutés dans le nord pour raison professionnelle, ils sont donc obligés de mettre leurs maisons en vente. Ils les font évaluer. L’expert leur dit qu’ils peuvent en espérer 400.000 euros chacun. Le temps passe et ils ne trouvent pas d’acquéreurs.

Dominique décide de baisser le prix à 300.000 euros, mais Mouloud tient bon sur 400.000. Une semaine après, Dominique voit arriver son ami Mouloud, tout guilleret : il chante, il sifflote…
– Dis-moi, Mouloud, tu m’as l’air bien joyeux ce matin !
– Ça y est ! J’ai vendu ma villa !
– C’est pas possible ! Combien ! 200.000 ?
– Non ! 400.000, comme je voulais… Mais tu comprends, moi, je n’ai pas un Arabe comme voisin !

Dépravation terrestre

Au Paradis, le grand conseil s’est réuni car il faut remédier à l’état de dépravation qui règne sur la Terre. Après plusieurs heures de discussion, Saint Pierre déclare :
– Je ne vois qu’une seule solution : il faut que l’un d’entre nous retourne là-bas remettre les choses en place.
– Moi je ne peux pas y aller, dit le bon Dieu. Je suis beaucoup trop vieux.
– Moi je n’y retourne plus, dit Jésus. J’en ai assez bavé la première fois.
– Moi, je veux bien y aller, dit le Saint-Esprit, mais il faudrait qu’avant ils aient supprimé là-bas le tir aux pigeons.

Changement de direction

Un grand café des Champs-Élysées présente une affiche sur sa vitrine, qui indique :
« Le mois prochain, changement de patron ».
– Vous vendez votre affaire, demande un client au patron ?
– Non ! je me marie !

Les gros besoins

Un jeune homme vient voir son meilleur ami :
– Tu sais, ça y est, j’ai décidé de me marier avec Nathalie !
– Ah bon ? Est-ce que tu es bien sûr de toi ?
– Oui, absolument !
– Mais tu sais, je la connais un peu, elle a vraiment de gros besoins… physiques, si tu me comprends…
– Oui, je sais, mais t’en fais pas, un homme averti en vaut deux…
– Non, justement, dans son cas, ça m’étonnerait que ça soit encore suffisant !