Blagues
Docteur je coule !
Une femme va consulter un médecin.
– Docteur, je ne sais pas ce qui m’arrive, j’ai des écoulements…
– Déshabillez-vous, Madame, ordonne le médecin, allongez- vous et écartez les jambes !
La dame s’exécute sans un mot et le médecin entreprend une exploration vaginale. Dix minutes plus tard, il a terminé.
– Vous pouvez vous rhabiller, Madame. Vous vous sentez mieux ?
– Oh oui, Docteur, beaucoup mieux ! Maintenant si vous pouviez vous occuper de mon écoulement, c’est dans l’oreille droite…
Le mari gymnaste
Une femme raconte à une amie :
– Depuis quelque temps, mon mari se lève tous les matins à l’aube pour suivre l’émission de gymnastique à la radio.
– Ton mari fait ça ? lui dit l’autre. Mais je croyais qu’il détestait le sport ? Alors, comme ça, tous les matins, il fait les exercices ?
– Ah, non, pas lui. Mais la petite voisine d’en face, devant sa fenêtre grande ouverte et en petite tenue.
La maison de l’Arabe
Deux amis Marseillais, Dominique et Mouloud, possèdent exactement les mêmes villas dans le même lotissement. Tous deux étant mutés dans le nord pour raison professionnelle, ils sont donc obligés de mettre leurs maisons en vente. Ils les font évaluer. L’expert leur dit qu’ils peuvent en espérer 400.000 euros chacun. Le temps passe et ils ne trouvent pas d’acquéreurs.
Dominique décide de baisser le prix à 300.000 euros, mais Mouloud tient bon sur 400.000. Une semaine après, Dominique voit arriver son ami Mouloud, tout guilleret : il chante, il sifflote…
– Dis-moi, Mouloud, tu m’as l’air bien joyeux ce matin !
– Ça y est ! J’ai vendu ma villa !
– C’est pas possible ! Combien ! 200.000 ?
– Non ! 400.000, comme je voulais… Mais tu comprends, moi, je n’ai pas un Arabe comme voisin !
Dépravation terrestre
Au Paradis, le grand conseil s’est réuni car il faut remédier à l’état de dépravation qui règne sur la Terre. Après plusieurs heures de discussion, Saint Pierre déclare :
– Je ne vois qu’une seule solution : il faut que l’un d’entre nous retourne là-bas remettre les choses en place.
– Moi je ne peux pas y aller, dit le bon Dieu. Je suis beaucoup trop vieux.
– Moi je n’y retourne plus, dit Jésus. J’en ai assez bavé la première fois.
– Moi, je veux bien y aller, dit le Saint-Esprit, mais il faudrait qu’avant ils aient supprimé là-bas le tir aux pigeons.