Blagues

Propreté domestique

Conseils pour garder une maison propre :

1) Sortez mari et enfants de la maison.

2) Nettoyez la maison.

3) Changez les serrures de la maison et ne plus laisser rentrer mari et enfants !

Les légionnaires et l’aumônier

Un aumônier militaire est venu visiter un poste de légionnaires perdu au fin fond du désert. Assez nerveux, le commandant du poste l’accompagne, redoutant à chaque instant que l’un de ses hommes laisse échapper un juron ou une obscénité. Puis vient le moment du sermon :
– N’oubliez jamais l’exemple de notre sauveur Jésus-Christ, s’exclame l’aumônier dans une magnifique envolée. Qu’y a-t-il de plus beau que son sacrifice héroïque sur la croix ? Qu’y a-t-il de plus beau que l’héroïsme ?

À cet instant, le commandant bouscule l’aumônier et s’avance devant ses hommes.
– Le premier qui dit « ma queue », je lui colle huit jours !

Le château du monde

Un prêtre rend visite au nouveau propriétaire du château voisin. C’est un riche industriel et il a fait faire des travaux somptueux. Le prêtre s’extasie et l’industriel lui dit :
– Mais ne croyez pas que tout soit tombé du ciel, mon père. Cela m’a coûté très cher : les pierres que j’ai fait venir d’Égypte pour l’aile Nord. Les arbres exotiques de tous les coins du monde pour le jardin de ma femme. Les oiseaux de la grande volière. Les poissons japonais d’espèces très rares pour l’étang devant le perron.

Le prêtre soupire :
– Ah ! comme le monde aurait été beau si le bon Dieu avait eu autant d’argent que vous, pour faire le monde !

La perruque du mort

Juste avant d’emmener le cercueil de feu monsieur le maire jusqu’à l’église, pour la messe d’enterrement, le croque-mort local s’aperçoit que la perruque du défunt ne tient pas en place. Rien à faire pour qu’elle tienne droit… Il en parle au curé, et ils vont tous les deux chercher un peu de colle. Quand ils reviennent, la perruque semble solidement plantée sur le crâne du mort.
– Mais comment avez-vous fait ? demande le curé à ses enfants de chœur, restés près du cadavre.
– C’est tout simple, monsieur l’abbé. On a mis un clou…