C’est Mongolito qui arrive en retard à l’école un matin, sa maîtresse lui demande : – Pourquoi es-tu en retard ?
Et il répond avec difficulté : – C’est passque, c’est passque, c’est passque j’ai pris le train… – Et bien justement, tu devrais être à l’heure, à moins que le train n’ait eu du retard… – Ah non ! Ça, ça, ça, il était pas en retard… – Et bien alors explique moi pourquoi TOI tu es en retard… – Mais c’est passque j’ai pris le, j’ai pris le train… – Bon alors ça suffit maintenant, si tu ne me dis pas la vérité, je te punis alors je t’écoute maintenant… – Mais, mais Madame, je vous dis la vérité, j’ai pris le train…. DANS LA GUEULE !
C’est Hitler qui meurt. Il arrive là-haut, à la porte du paradis, et il sonne en gueulant : – Ouvrez la porte !
Il y a saint Pierre qui fait : – Qu’est-ce que c’est que ce type ? Qu’est-ce que c’est ce type ? – Ouvrez la porte, je suis le Führer ! – Hé, on se calme, mon ami !
Et puis finalement, Saint Pierre le fait entrer au Paradis. Seulement, très vite, Hitler se fait remarquer. D’abord, il trouve que les anges ne sont pas bien alignés, et il les fait mettre en rang. Ensuite, il les fait défiler en levant les ailes.
Alors Dieu finit par s’énerver et dit : – On ne va pas pouvoir le garder ! Ce n’est pas possible. On va le foutre en enfer, au moins on sera peinards.
Hitler arrive en enfer, et c’est pareil. Au bout de deux jours, il casse les sabots de tout le monde en faisant marcher les diables au pas de l’oie et en voulant remplacer leurs fourches par des mausers à baïonnette.
Tant et si bien que les démons se disent : – Il nous emmerde, ce mec ! On n’en veut pas ici. On va le foutre au purgatoire.
Et au purgatoire, c’est pareil, il impose le port de l’uniforme, organise des revues de détail, hurle « présentez âmes ! » et tout ça.
Bientôt tout le monde en a marre, et Dieu décide de le virer en le renvoyant sur Terre. Alors il le convoque et il lui dit : – Bon, je vous accorde une permission. Le problème, c’est que vous ne descendez pas comme ça, hein ! Vous enlevez l’uniforme, vous passez chez le coiffeur et vous vous faites couper la mèche et la moustache parce que sinon on va avoir des emmerdes. Et puis vous me mettez un tee-shirt Mickey, un bermuda et des baskets pour qu’on ne vous repère pas…
Hitler fait : – Et vous me donnez combien de temps ? – Le temps que vous voudrez : c’est une permission illimitée !
Deux heures après, on frappe de nouveau à la porte du paradis, c’est Hitler qui revient. Alors Dieu lui demande : – Qu’est-ce qui vous arrive ?
Et Hitler lui répond : – Je n’irai plus jamais sur Terre, quel bordel ! – Pourquoi vous dites ça ? – Maintenant ce sont les Juifs qui font la guerre et les Allemands qui font des affaires !
Dans un camp de naturistes, une belle nudiste dit à une autre : – Ce que j’adore, ici, c’est les pickpockets. Il y en a un, hier, qui m’a fait jouir trois fois en cherchant avec obstination où j’avais bien pu dissimuler mon porte-monnaie.
Il fait nuit. C’est un gars qui emmène une fille faire une virée en voiture un soir.
Sentant le moment propice, il s’arrête au bord d’un chemin et abaisse les sièges pour faire couchette. Ils font l’amour une première fois, mais la fille en redemande. Alors le gars se remet au fourneau.
Mais après la deuxième fois, la fille n’est toujours pas satisfaite. Le gars, bien volontaire s’y remet aussitôt… Mais après cette troisième fois, la fille n’est toujours pas rassasiée. à ce moment là, le gars lui dit : « Attends une minute, il faut que je sorte faire pipi. »
Pendant qu’il est dehors en train de soulager sa vessie, il voit qu’un homme est en train de changer sa roue de voiture. Il s’avance vers l’homme et lui dit : « Hé dites donc, j’ai là une fille dans la voiture, ça fait déjà trois fois que je lui fais l’amour et elle n’est pas encore rassasiée. Je vous change la roue si vous me remplacez pour un tour. »
Le gars est d’accord. Il est déjà dans la voiture et dans la fille, lorsqu’un policier tape au carreau et éclaire le couple à l’intérieur de la voiture avec sa lampe-torche.
Le policier (hypocrite) : « Qu’est-ce que vous faites ici ? »
Le gars : « Je fais l’amour à ma femme »
Le policier : « Pourquoi vous ne faites pas ça à la maison ? »
Le gars : « Pour vous dire toute la vérité, je ne savais pas que c’était ma femme jusqu’à ce que vous nous éclairiez avec votre lampe… »
Deux petits vieux dans leur lit : – Marguerite, aujourd’hui tu as 75 ans. Je vais te faire un cadeau. Je vais te faire minette. – Léon, est-ce bien raisonnable ? – Oui, oui. Allez, écarte les jambes…
Elle s’exécute et Léon commence à fourrager entre ses cuisses. Il se redresse après quelques minutes : – C’est bizarre, dit-il, c’est plus comme avant. ça n’a plus le même goût… – C’est l’arthrite, répond Marguerite. – Comment ça ? l’arthrite ? – Ben oui, j’ai de l’arthrite dans les bras. Avant je faisais ma toilette intime en passant par devant, maintenant je suis obligée de passer par derrière…