C’est François Mitterrand qui va aux jeux Olympiques d’Albertville. Il arrive pour prononcer le discours d’ouverture, et alors là il se passe quelque chose de bizarre. Au lieu de dire : « Je déclare ouvertes les seizièmes olympiades d’hiver », on l’entend répéter : – Oooh… Ooooh… Ooooh… Oooh…
Juste à ce moment-là, il y a Jack Lang qui le tire par la veste et qui lui murmure à l’oreille : – Non, non, arrêtez monsieur le président, vous êtes en train de lire les anneaux olympiques !
Un gars va consulter son médecin. Le docteur lui demande : – Que puis-je faire pour vous ? – Et bien voilà docteur, j’ai une question pour vous. Je me masturbe, et je me demandais à partir de quand on pouvait considérer que c’était trop souvent ? – Hmmm, vous vous masturbez tous les combien ? demande le docteur. – Trois fois par jour. – Oui… c’est peut être un peu excessif. Vous n’avez pas pensé à vous trouver une petite amie ? demande le docteur – J’AI une petite amie ! – Je veux dire… une petite amie avec qui vous faites l’amour ! dit le docteur – Oh mais on fait l’amour… Le problème c’est qu’elle n’aime pas faire ça pendant les repas.
Ça se passe sur le chantier d’un immeuble en construction. Trois ouvriers, un français, un anglais (francophone) et un belge font la pause casse-croûte du midi tout en haut de l’immeuble.
L’anglais : – Oh, incroyable ! Encore un sandwich au cheddar. Je vais vous dire un truc : Si ma femme me fait encore un sandwich au cheddar, demain, je me tue.
Le français : [un peu interloqué] – Oh… merde, encore de la choucroute.
L’anglais : – Ben, c’est pas mal, ça change des sandwichs…
Le français : – Oui peut-être, mais tous les jours, c’est trop. Si demain j’ai encore le même menu, je te suis…
Le belge : – Hum. Moi j’ai encore eu du waterzoï. Je suppose que je vais me tuer si j’ai encore la même chose demain.
Nous sommes le jour suivant, il est midi, et c’est encore la pause casse-croûte.
L’anglais : – Damn it ! J’avais pourtant dit à mon idiote de femme de ne plus mettre de cheddar dans mes sandwichs. C’est décidé, cette fois-ci c’est la bonne ! Et il saute.
Le français : – Oh non !. Ma femme m’a encore fait de la choucroute ! Attends-moi…
Le belge : [très inquiet, il ouvre sa gamelle et…] – Oh. Du waterzoï. En fait je ne veux pas mourir, mais une promesse est une promesse…
À l’enterrement, les trois femmes discutent entre elles.
L’anglaise : – Sigh, si seulement je ne lui avais pas fait de sandwich au cheddar, il serait encore avec nous.
La française : – Le mien aimait le thon Pourquoi ne lui ai-je pas préparé des sandwichs au thon… c’est ma faute…
La belge : – Je ne comprends pas. Il a toujours insisté pour faire lui-même ses propres sandwichs.