Ce sont un extraterrestre (humanoïde, disons un martien pour simplifier) et sa femme qui ont tout connu sur leur planète, en particulier au niveau sexuel, et qui décident donc de venir voir sur Terre comment c’est.
Ils atterrissent chez (admettons) Pierre et Anne, et leur racontent leur histoire, pourquoi ils sont venus sur Terre, etc…
Notre couple terrien, qui sait bien que pareille occasion ne se reproduira pas de sitôt, accepte sans problème un échange de partenaires pour une nuit torride.
Le lendemain matin, après le départ des extraterrestres, notre couple discute de cette nuit si particulière. Pierre demande : – Alors, comment c’était ?
Anne répond : – Ben, c’était absolument génial… Nous sommes allés sur le lit, il m’a caressée, etc…, puis il m’a demandé de lui tirer l’oreille gauche, et là son sexe s’est mis à s’allonger de façon incroyable, jusqu’à 40 centimètres… – Ah bon, vraiment ? – Oui, mais c’est pas tout ! Après, il m’a demandé de lui tirer l’autre oreille, et là, son sexe est devenu gros comme mes biceps ! Après, on n’a pas arrêté de faire l’amour pendant toute la nuit. Vraiment inoubliable ! Et toi, alors, comment c’était ? – Ben, je peux pas vraiment te dire, elle a passé la nuit à me tirer les oreilles !
Dans un bar à Aubagne, Tony et Doumé discutent devant leur quatorzième pastis… – Alors Tony, qu’est-ce que t’as fait ce dimanche ? – Je suis allé pêcher … – Ah, ouais, et ça à mordu ? – Putain ouais, et pas qu’un peu. J’ai pris une sardine… comme ça ! (Là Tony, il écarte les bras au max pour montrer la taille de la sardine.) Et encore, j’ai pas les bras assez longs… – Tony, tu pars en couilles ou quoi, là ! Ça existe pas des sardines comme ça. Tu me prends pour un con, tu me respectes pas, là ! – Et ouais je te le dis, elle était comme ça putain ! Tu le sais que je mens jamais aux collègues !
Jusqu’au dix-huitième pastaga, un silence de mort s’instaure entre les deux hommes. Puis Tony prend sur lui et relance la discussion : – Et toi Doumé, qu’est-ce que t’as branlé ce week-end ?
Léger blanc, puis Doumé condescend à répondre : – J’ai chassé, à la Treille. – Ah ouais et qu’est-ce que t’as pris ? – Rien putain, ça a pas marché, y avait que dalle dans la colline ! – Arrête-toi Doumé, un flingueur comme toi, t’aurais rien chopé ??!! Tu me prends pour un con ou quoi ! – Non, je te dis qu’il y avait rien à tirer ! – Doumé, tu me ballades là ou quoi ! Un chasseur comme toi, un expert…! J’te crois pas !
Là, Doumé baisse le ton et confie à Tony : – Bon Tony, OK, il m’est arrivé un truc incroyable. Je te raconte, mais y faut que t’en parles à personne. Tu entends ! Personne ne doit savoir ce que je vais te dire maintenant !
Tony un peu impressionné, laisse choir doucement : – OK, Doumé, OK. Pas de problème, je moufterai rien. – Bon, OK, alors voilà : Samedi, j’étais dans la pinède avec mon Verney Caron depuis 10 minutes et j’entends un bruit dans les fourrés. Putain tu me connais comme je dégaine ! Ni une ni deux, j’épaule, je flingue. Tu le crois ou non, c’était la chèvre à Monsieur Jean de Gémenos. Putain, killée net, entre les deux yeux. Tu me connais, je rate rien… – Non ??!! Putain, tu lui as niqué sa chèvre à Monsieur Jean ! Et qu’est-ce que t’as fait alors ! – Eh, qu’est-ce que tu voulais que je fasse? Je suis retourné à la GTI prendre la pelle militaire pliante et j’ai creusé. – Ah ouais ? Et après ? – Après ? Après, j’avais presque fini quand au bout du chemin tu sais ce que je vois ? – Putain, non, dis-moi ! – Monsieur Jean… – Non ???!!! – Et ouais, il arrivait doucement en marchant. – Putain et alors, qu’est-ce que t’as fait ? – Qu’est-ce que tu voulais faire. J’avais le fusil rechargé, j’y en mis 2, une dans chaque oeil… – Nooooooon ! Arrête ! T’as étendu Monsieur Jean ??!! Tu déconnes complètement là ??!! – Putain, mais qu’est-ce que tu voulais que je fasse, c’était lui ou moi.. – Et alors, après, qu’est-ce que tu as fait ! – Après ? Après, j’ai traîné Monsieur Jean jusqu’à sa chèvre et j’ai creusé un trou plus gros. – Putain !… Et alors ??!! – Alors ? Alors il me restait plus qu’un bras de Monsieur Jean à enterrer et devine qui je vois au bout du chemin ? – Putain je sais pas moi, dis-moi ! – Madame Jean qui arrivait tranquille… – NON ! Et alors, qu’est-ce que tu as fait ??!! Tu as quand même pas tué madame Jean ! Pas madame Jean ! – Ah ben là j’ai pas le choix, Tony : SOIT TU RÉTRÉCIS TA PUTAIN DE SARDINE SOIT JE FAIS UN CARNAGE !
C’est un gars qui est au restaurant et qui voit sur la carte un « Poulet de Bresse ». Lorsque le garçon vient prendre la commande, il lui dit que c’est ça qu’il veut.
Un peu plus tard, on lui amène un poulet entier rôti. Alors le gars introduit son index dans le fondement du poulet, goûte son doigt et dit : – Ah non ! Ce n’est pas un poulet de Bresse. C’est un poulet des Landes. Apportez-moi un vrai poulet de Bresse je vous prie.
Un peu plus tard, le garçon lui amène un autre poulet rôti. Le client recommence la même manipulation, se lèche l’index et dit : – Ce n’est toujours pas un poulet de Bresse. celui-ci vient de la Sarthe. De Loué pour être plus précis. Repartez en cuisine et cette fois-ci amenez-moi un vrai poulet de Bresse.
Alors encore un peu plus tard, un nouveau poulet rôti est présenté au client. Celui-ci reprend son petit manège. Et cette fois-ci, un sourire éclaire son visage : – Ah enfin ! Un vrai poulet de Bresse !
Alors le serveur se retourne, baisse son pantalon et lui dit : – Vous ne pourriez pas faire quelque chose pour moi, j’ai été élevé à l’assistance publique ?