Blagues

Savoir-faire manuel

blague sur les doigts, blague sur les juifs, blague sur les majeurs, blague sur les pouces, blague sur les séfarades, blague sur l’argent, humour drôle

Un vieux séfarade est mourant. il convoque son petit fils et lui dit :
– J’ai vécu jusqu’à 100 ans car j’ai un secret regarde ma main, je l’ai toujours utilisée au mieux… J’ai cinq doigts tous utiles (montrer votre main ouverte)
Le pouce : Le doigt de l’auto-stoppeur (faire le geste)
L’index : Pour désigner le monde (montrer quelque chose)
Le majeur : Le doigt du bonheur (tendre le doigt bien haut)
L’annulaire pour tenir mon alliance, symbole de mon bonheur conjugal avec Rachel
L’auriculaire : Pour se gratter l’oreille (faire le geste)
– Mon père, je comprend bien pour quatre doigts, mais pour le doigt du bonheur, je ne comprend pas…
– Je vais t’expliquer… Tous les soirs enferme-toi dans ton bureau… vérifie que personne ne regarde par la serrure… Lèche le bout de ton doigt (suggestif) et prépare-toi à l’extase…
– Non, je n’ose comprendre que faites-vous de ce doigt ?
– Hé, c’est simple, tu comptes l’argent que tu as gagné dans la journée! (faire le geste du comptage de billet !!!)

Un enterrement de classe

humour, blague sur la mort, blague sur la pingrerie, blague sur les cérémonies, blague sur les enterrements, blague sur les fosses communes, blague sur les prix

Un vieil homme se meurt dans son lit. Ses enfants l’entourent et commencent à parler de l’enterrement. Ils hésitent entre un enterrement de première, deuxième ou troisième classe.

Au début, comme ils aiment leur père, ils sont unanimes pour un enterrement de première classe, mais au fur et à mesure de la discussion, les porte-monnaie parlent et on arrive à un enterrement de troisième classe, dans la fosse commune.

Le vieux se redresse et se met à gueuler :
– Si vous voulez, je peux aussi y aller à pied !

Un plan simple

blague sur l'herpès, blague sur la prostitution, blague sur les enfants, blague sur les facteurs, blague sur les grenouilles, blague sur les maladies, blague sur l’infidélité, humour drôle

Un jour, un petit garçon de douze ans rentre dans une maison close en tenant dans ses bras une grenouille morte. Il s’adresse à la mère maquerelle :
– Je veux une de vos filles !
et il pose un billet de 100 euros sur le comptoir.

La tenancière le regarde de haut en bas et lui dit :
– Tu ne penses pas que tu es un peu trop jeune pour ça ?

Alors le garçon ressort un autre billet de 100 euros de sa poche, et reprend :
– Je veux une de vos filles, Maintenant !

La tenancière lui répond :
– Très bien, prends un siège et patiente un peu, elle sera là dans une vingtaine de minutes.

Mais le jeune garçon reprend alors 100 euros dans sa poche, les pose sur le comptoir et demande :
– Elle devra être en pleine crise d’herpès génital.

La mère maquerelle est interloquée et lui demande pourquoi, mais le jeune garçon ressort encore 100 euros et insiste :
– En pleine crise d’herpès !

Alors la maquerelle répond :
– D’accord. Assieds-toi, ça ne prendra que 10 minutes.
10 minutes plus tard, une femme arrive, ils montent tous les deux et le petit y va de sa partie de rentre dedans…

Lorsqu’il descend et repasse devant la tenancière, celle-ci lui demande :
– Allez, maintenant tu peux me le dire : Pourquoi voulais-tu une fille en pleine crise d’herpès ?

Le garçon répond :
– Maintenant, je vais rentrer chez moi et je baiserai la baby-sitter. Ce soir, papa reconduira la baby-sitter chez elle et la baisera dans la voiture. Quand papa rentrera, lui et maman feront l’amour… Et demain matin, quand papa partira au boulot, maman baisera avec le facteur… Et là j’aurai enfin le bâtard qui a roulé sur ma grenouille !

Lettre au ministre de la défense

humour, blague sur le service militaire, blague sur les exemptions, blague sur les familles, blague sur les militaires, blague sur les ministres, blague sur l’armée

Monsieur le Ministre de la Défense Nationale,

Permettez-moi de prendre la respectueuse liberté de vous exposer ce qui suit, et de solliciter de votre bienveillance l’appui nécessaire pour obtenir une démobilisation rapide. Je suis sursitaire, âgé de 24 ans, et je suis marié à une veuve de 44 ans, laquelle a une fille qui en a 25.

Mon père a épousé cette fille. A cette heure, mon père est donc devenu mon gendre, puisqu’il a épousé ma fille. De ce fait, ma belle-fille est devenue ma belle-mère, puisqu’elle est la femme de mon père.

Ma femme et moi avons eu en Janvier dernier un fils. Cet enfant est donc devenu le frère de la femme de mon père, donc le beau-frère de mon père. En conséquence, mon oncle, puisqu’il est le frère de ma belle-mère. Mon fils est donc mon oncle.

La femme de mon père a eu à Noël un garçon qui est à la fois mon frère puisqu’il est le fils de mon père, et mon petit-fils puisqu’il est le fils de la fille de ma femme.

Je suis ainsi le frère de mon petit-fils, et comme le mari de la mère d’une personne est le père de celle-ci, il s’avère que je suis le père de ma femme, et le frère de mon fils. Je suis donc mon propre grand-père.

De ce fait, Monsieur le Ministre, ayez l’obligeance de bien vouloir me renvoyer dans mes foyers, car la loi interdit que le père, le fils et le petit-fils soient mobilisés en même temps.

Dans la croyance de votre compréhension, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l’expression de mes sentiments les meilleurs.

Paul HOCHON