Blagues

Les saillies du taureau

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Au Texas, un homme et sa femme sont dans une foire aux bestiaux. Dans une arène défilent les taureaux destiner à la vente :

« Magnifique taureau, bla bla… quinze saillies par jour ! »
La femme du type :
– T’entends !?

Son mari :
– Ouais… bon…

« Un autre magnifique taureau, vingt saillies par jour ! »
Et encore :
– T’entends !?

« Une superbe bête qu’est celui-là, vingt-deux saillies par jours ! »
– T’entends !?

« Nous continuons avec ce spécimen qui atteint dix-neuf saillies par jours ! »
– T’entends !?

Et comme ça pendant une heure. Pour finir, le mari, qui n’en peut plus de se faire charrier sur la fréquence de ses saillies à lui, se lève prend sa femme avec lui et ce dirige vers le vendeur :
– Dites-moi monsieur, tout vos taureaux, ils le font avec la même vache ?
– Bien sûr que non, ils ont tout le troupeau.

Le mari à sa femme :
– T’entends !?

La belle-mère muette

Une belle-mère, qui campe avec sa fille et son gendre, s’écrie en arrivant au pied des Alpes :
– Oh ! la splendeur de ce paysage me rend muette !
– Parfait, dit le gendre. En ce cas, on plante la tente ici pour un mois.

Le travail en retard

– Mon mari, raconte une dame à une voisine, a pris la mauvaise habitude de rapporter du travail à la maison.
– Ah ! Il est sans doute employé, dans une administration ?
– Non, il est clown dans un cirque. Et je vous jure que j’en ai plus que marre, des tartes à la crème !

Dessin un clown se prend un rouleur à pâtisserie dans la tête
Le travail en retard

Parfaitement cocu

– Tu fais la tête, mon chéri, s’étonne une femme. Qu’est-ce qui ne va pas ?
– Il y a que j’ai rencontré mon ami Gaston. Il m’a avoué que vous couchiez ensemble depuis trois mois. Et, en plus, il m’a confié que, l’autre jour, tu lui as dit que j’étais un parfait imbécile.
– Voyons, proteste l’épouse, c’est absolument faux. Je n’ai jamais prétendu que tu étais parfait.

L’écossais et son ami de Londres

Un Écossais va passer un mois chez un ami de Londres et, pendant tout ce temps, il vit entièrement à ses crochets. Quand son séjour se termine, l’ami le raccompagne à la gare et ils vont boire un dernier verre ensemble au buffet. Lorsque l’Anglais fait mine de payer, l’Écossais arrête son geste, sort une pièce et lui dit :
« Ah non, jamais de la vie ! Depuis un mois c’est vous qui payez sous prétexte que je suis votre invité. Maintenant c’est fini, le dernier verre, c’est sacré : on va le tirer à pile ou face ! »