C’est un gars rescapé d’une autre blague dans laquelle il avait eu le pénis tranché qui va voir le chirurgien pour savoir si, par bonheur, il ne serait pas possible de lui remplacer cette pièce essentielle de son anatomie.
Après un examen attentif de la partie manquante, le chirurgien demande à notre gars combien d’hommes adultes il connaît dans sa famille toute proche. Le gars répond qu’il y a son père, son grand-père et ses cinq frères, soient 7 personnes. Alors le chirurgien lui dit : – C’est parfait : Si ils sont tous d’accord, je prendrai à chacun d’eux deux centimètres de pénis et ainsi je pourrai vous reconstituer un pénis de 14 cm.
Après avoir demandé leur accord à tous les membres masculins de sa famille, et obtenu une réponse positive de chacun d’eux, tout le monde se retrouve à l’hôpital la semaine suivante.
Le chirurgien, après avoir réalisé cette multigreffe incroyable, va voir le patient et lui dit : – L’opération s’est très bien déroulée. Vous voilà maintenant avec un pénis de 14 cm. Soyez très prudent au début avec : Pas de masturbation ou pénétration avant un mois. Vous viendrez me voir dans deux mois pour me donner vos impressions.
Deux mois plus tard, le greffé revient en visite de contrôle : – Alors, comment vous va votre nouveau pénis ?
Et le gars répond : – Ben disons, pas trop mal… Mais je voudrais quand même savoir qui a eu l’idée de mettre le morceau du grand-père en plein milieu…
Une jeune touriste américaine visite un vieux château écossais. A la fin de la visite le guide lui demande si elle a aimé. La jeune touriste reconnaît qu’elle a eu peur de voir débouler un fantôme. – Ne vous affolez pas, je n’ai jamais vu un fantôme depuis que je suis ici. – Et cela fait combien de temps ? – Environ trois siècles…
Un homme s’en va acheter un cochon. L’éleveur lui demande de quel poids il le veut. Ne s’y connaissant pas bien il demande un cochon de 20 kg (c’est un porcelet). Sur ce, le marchand en tapote un et lui déclare : – 20 kg tout juste !
Le gars s’écrie alors : – Je n’y connais peut-être rien mais vous n’allez pas me faire avaler qu’en le tapotant vous connaissez son poids.
Le marchand lui dit alors : – Ah, vous voulez le peser ?
Bref, le voilà qui retourne le cochon, met sa petite queue en vrille entre ses dents, le laisse balancer une seconde, puis déclare : – J’avais bien dit 20 kg.
Le mec encore moins persuadé lui dit : – Elle est bonne celle là, vous me prenez pour un imbécile ?
Le marchand excédé appelle son fils : – Eh gamin viens peser ce cochon pour monsieur.
Le gamin applique la méthode familiale et déclare 20 kg ! – Oui mais, il était à peine à 3 mètres de nous. – Gamin va appeler ta sœur.
La gamine arrive, pèse le cochon de la même manière. – Toujours pas persuadé mon brave ? Gamin gueule un peu ta mère de descendre.
Le gamin gueule « M’man, M’man », mais toujours pas de M’man qui arrive ! – Gamin va voir où elle reste ta mère.
Le gamin revient bredouille, mains dans les poches et dit : – M’man peut pas venir, elle est en train de peser le facteur.
Qu’est-ce que la femme veut vraiment dire quand elle parle à l’homme ?
« Non. » => « Oui. »
« Oui » => « Non »
« Peut-être » => « Non »
« Tu veux » => « Tu veux »
« On a besoin de … » => « J’ai envie de … »
« Bien sûr que non je ne suis pas émue. » => « Bien sûr je suis émue, espèce d’idiot ! »
« Je dois te le dire. Éric et moi, on se voit. » => « On fait l’amour ensemble depuis plusieurs mois. »
« J’ai l’impression que je te connais depuis toute ma vie. » => « Je suis bourrée. »
« Est-ce que tu me respecteras encore demain matin ? » => « Tu ne le diras pas à tes copains, hein?
« Oh je ne le fais jamais dès le premier rendez-vous. » => « Je le fais dès le premier rendez-vous »
« Non pas là. » => « Mais tu pourras tout à l’heure »
« Tu es…tellement viril. » => « Tu devrais te raser, et en plus qu’est-ce que tu transpires. »
« Bonjour ? Ah oui. est-ce qu’on ne se serait pas vu vendredi dernier en boite? => « J’ai attendu près du téléphone pendant trois jours. »
« Tu es très amoureux ce soir » => « Tu ne pense vraiment qu’au sexe ! »
« Je le crois pas ! Toi, ici ? » => « Je t’ai suivi toute la journée »
« Non, je ne suis pas énervée » => « J’ai mes règles »
« Tu montes prendre un dernier verre ? » => « Tu viens faire l’amour ? »
« Allez viens…tu prends juste un verre et tu pourras partir. » => « Peut-être tu seras saoul et alors on fera l’amour. »
« J’aime les hommes qui prennent leurs responsabilités. » => « Tu paies l’addition, hein ? »
« Sois romantique, éteins la lumière ! » => « J’ai de la cellulite »
« Fais comme tu veux » => « Je te le ferais regretter »
« Il faut qu’on parle » => « Je dois me plaindre de quelque chose »
« Bien sûr…Vas-y » => « Je ne veux pas que tu fasses ça »
« Cette cuisine est vraiment mal foutue » => « Je veux une nouvelle maison »
« Je veux des nouveaux rideaux » => « … et des tapis, des meubles du papier-peint… »
« J’ai besoin de nouvelles chaussures » => « Dans mes autres 40 paires, aucune ne va bien avec la robe que je viens d’acheter »
« Accroche le tableau ici » => « NON, en fait plutôt ici »
« J’ai entendu un bruit » => « J’ai remarqué que tu dormais presque. »
« Tu m’aimes ? » => « Je vais te demander quelque chose de très cher »
« Tu m’aimes très fort, hein ? » => « Aujourd’hui j’ai fait quelque chose que tu ne vas vraiment pas aimer. »
« Je serais prête dans une minute » => « Tu peux enlever tes chaussures et te mettre devant la télé »
« Est-ce que j’ai un gros cul ? » => « Dis-moi que je suis belle »
« Tu devrais apprendre à communiquer » => « Tu devrais être d’accord avec moi »
« Je suis désolée » => « Tu le regretteras »
« Tu aimes ce plat ? » => « La recette est facile, tu ferais mieux de t’y habituer dès maintenant »
« Je ne hurle pas ! » => « Oui je hurle parce que je pense que c’est important »
« On sort juste pour acheter du dentifrice » => « Mais on s’arrêtera aussi chez le parfumeur, chez le marchand de chaussures, et puis il me faut une nouvelle robe et peut-être aussi un nouveau sac à main. Au fait, tu as pris ton chéquier ? »
Un postier avec une poupée sur le doigt (il a un panaris) entre dans un bar pour déposer le courrier du jour. Au fond du bar, il aperçoit une lueur rouge qui émane de derrière un paravent. Etonné, il demande au barman : – Qu’est-ce que c’est que cette lumière rouge et ces paravents au fond du bar ?
Le barman lui répond : – C’est un ami à moi qui travaille là-bas ; c’est un guérisseur. Il fait partir des maladies pour lesquelles la médecine traditionnelle est impuissante ! – Oh… Eh bien tu lui paieras un verre de ma part !, répond le postier.
Là-dessus, un maçon entre en boitant dans le bar car il a une « patte folle ». Lui aussi demande : – Que se passe-t-il ici ?
Le postier lui répond : – C’est un guérisseur qui officie là-bas derrière. Il guérit même ce qui ne se guérit pas ! Le maçon dit au barman de lui payer une chope de bière sur son compte.
Un peu plus tard, un routier entre dans le bar en « marchant sur des œufs » ; comme tout le monde le regarde interrogatif, il explique que ses hémorroïdes lui mettent les fesses en feu, puis il demande ce qui se passe au fond du bar.
Le barman lui explique ce qui se passe. Alors le routier lui dit : – Mets-lui une bière sur mon compte alors.
Un quart d’heure plus tard, le guérisseur s’apprête à quitter le bar. Il passe près du maçon et dit : – Je te remercie pour la bière. Je vois que tu as une jambe qui ne va pas très fort… Et il applique ses mains sur la jambe du gars. Une minute plus tard, le maçon est en train se sauter à pieds joints et de courir partout dans le bar sans boiter ! Incroyable !
Juste après, le guérisseur passe près du chauffeur routier. Il applique ses mains sur les hanches du routier… et en quelques secondes, le feu qui lui brûlait le derrière s’éteint !
Finalement, le guérisseur arrive au niveau du postier qui s’enfuit en courant et sort du bar comme un coureur de 100 mètres.
Le guérisseur lui crie : – Qu’est-ce qu’il y a mon gars ? Reviens, je peux guérir n’importe lequel de tes maux ! – Justement ! C’est pour ça que je me casse !, braille le postier, Moi je veux être invalide à 100% !