Deux types discutent : – Tu vois, c’est bizarre la langue française. Tu as par exemple le mot chat qui a deux écritures possible. Il y a le chas de l’aiguille qui s’écrit avec un S, c’est le trou dans lequel on enfile le fil et il y a le chat que tu caresses et qui s’écrit avec un T. – Et le chat de la femme, ça s’écrit avec un S ou un T ? – Ça dépend si on le caresse ou si on l’enfile.
Un gosse qui voit dans la rue un chien en train de saillir une chienne demande a son père ce qu’ils font. Le père embarrassé explique que la chienne qui se trouve dessous ne veut pas rentrer à la niche, et que le chien est en train de la pousser pour la ramener. Le gosse : – C’est comme maman hier, heureusement qu’elle se tenait bien au lavabo, sans cela le facteur l’emmenait à la poste.
Cela se passe dans un petit village de la Flandre profonde. Marietje Vanachterthoekske est la doyenne du village et vit dans sa petite maison tout au bout du village, avec son vieux bouc bien aimé, vestige de son ancien troupeau.
Or, un jour d’hiver, Marietje se rend compte que son bouc a pris froid et tousse affreusement. Complètement paniquée, elle appelle le vétérinaire du coin pour une consultation.
Le vétérinaire examine donc le bouc et dit à Marietje : – Ben voilà, ton bouc a une bronchite aiguë et il faudrait absolument qu’il soit continuellement tenu au chaud. Or je vois qu’il est dans ton étable non chauffée. Il faut absolument que tu trouves une solution.
Mais Marietje n’est pas très riche, et elle ne peut pas se permettre de chauffer l’étable, ni de chauffer rien du tout pendant la nuit.
Elle répond donc au vétérinaire : – Bon, pendant la journée, je le garderai dans la cuisine, mais je ne sais pas ce que je vais faire pour la nuit… Je ne vois qu’une solution : Il viendra dormir dans mon lit, ainsi il sera bien au chaud.
Le vétérinaire : – Oui Marietje, c’est une solution, mais… et l’odeur ?
Marietje réfléchit quelques instants puis : – Ha, tant pis,… Il n’aura qu’à s’habituer !
L’année dernière, j’ai essayé de te faire l’amour 365 fois. J’ai réussi 36 fois, ce qui représente une moyenne d’une fois tous les 10 jours. Ce qui suit est une liste des raisons qui font que je n’y suis pas parvenu plus souvent.
On va réveiller les enfants… 34 fois
Il est trop tard… 15 fois
Je suis trop fatiguée… 5 fois
Il est trop tôt… 52 fois
Il fait trop chaud… 15 fois
Tu as fait semblant de dormir… 49 fois
Les voisins vont nous entendre… 9 fois
Mal de dos… 2 fois
Mal à la tête… 26 fois
Coup de soleil… 10 fois
Ma mère peut nous entendre… 36 fois
Je regarde la télé ce soir… 7 fois
J’ai mal partout… 9 fois
Pas d’humeur… 21 fois
J’ai été chez le coiffeur… 6 fois
J’ai mes règles… 14 fois
Je dois aller aux toilettes… 19 fois
Les 36 fois où je suis parvenu à te faire l’amour, le résultat n’a pas été satisfaisant car :
6 fois tu t’es juste couchée et tu as fait la morte,
8 fois tu as entendu des craquements dans le grenier,
4 fois tu m’as dit de me dépêcher et d’en finir,
7 fois j’ai du te réveiller pour te dire que j’avais fini,
et les autres fois, j’ai eu peur de t’avoir fait mal parce que j’ai senti que tu avais bougé..
REPONSE DE LA FEMME :
À toi, mon cher mari
Je pense que tu as commis quelques erreurs. Voici les vraies raisons qui font que tu n’as pas eu ce que tu recherchais plus souvent…
Tu es rentré bourré et tu as essayé de baiser le chien… 7 fois
Tu n’es pas rentré à la maison du tout… 29 fois
Tu n’as pas réussi à éjaculer… 14 fois
Tu as éjaculé très (trop) tôt… 26 fois
Tu as éjaculé avant de me pénétrer… 18 fois
Tu as eu des crampes aux jambes… 9 fois
Tu travaillais trop tard… 52 fois
Tu as eu de l’urticaire, probablement attrapé sur un siège de toilettes… 21 fois
Tu t’es battu et tu as pris un coup de pied aux parties… 4 fois
Tu t’es coincé la chose dans ta braguette… 8 fois
Tu as pris froid, et ton nez coulait… 14 fois
Tu avais une esquille de bois sous la peau… 4 fois
Tu t’es emmêlé les pieds dans un fil et tu t’es éclaté le tibia… 8 fois
Tu étais tellement bourré que tu t’es couché dans le mauvais sens du lit, et tu t’es pris des coup de pied dans la figure en essayant d’embrasser mes pieds… 8 fois
Tu as oublié d’y penser en rentrant à la maison… 25 fois
Tu as éjaculé dans ton pyjama en lisant une revue porno… 8 fois
Quand je me suis couchée en faisant la morte, c’est que je faisais les draps. D’autre part je ne disais pas qu’il y avait des craquements dans le grenier, mais plutôt « tu veux que je me mette sur le dos ou à genou » ? La fois où je t’ai demandé de te dépêcher, c’est parce que tu avais pété et que j’étais pressé de respirer. Et pour les autres fois, il faut que tu saches qu’il y a six mois, j’ai appelé les alcooliques anonymes pour toi, et un de leurs représentants passe tous les après-midi quand tu n’es pas là.
Un damné téléphone de l’enfer à un copain bienheureux qui a mérité le Paradis : – Ici, cela ne va pas trop mal. Comme on est très nombreux, on travaille deux ou trois heures par jour, pour allumer les feux. Le reste du temps, on se la coule douce. Et toi, au Paradis, comment va ? – Ne m’en parle pas, répond l’autre. Un travail fou : on se lève à six heures, on se couche à minuit. Je n’en peux plus ! – Mais comment, demande le damné, comment cela se fait-il ?
Le bienheureux répond : – C’est à cause de la main d’œuvre ! Il n’entre jamais personne ici !