Humour noir

Blague (méchante) à faire à un ami :

Demandez-lui de prendre une feuille de papier et un crayon. Faites lui écrire sur une feuille :
« C’est combien une place de cinéma ? »
et pour finir faite lui lire la phrase SANS PRONONCER LES « C ».

Quand avec bien du mal il a dit : « est ombien une pla de inéma ? »
vous lui dites : « Pour les golios c’est demi tarif »

Ça marche à tous les coups.

La petite grenouille et le pédophile

Je me tapais un petit 160 sur la RN4 entre Paris et Nancy quand tout à coup j’ai ressenti un besoin très pressant. Ni une ni deux, je tire le frein à main et m’arrête sur la bande d’arrêt d’urgence. Je saute la rambarde et cours vers un chêne.

Là, pendant que je fais mon affaire, une grenouille saute et se plante devant moi en ouvrant des grands yeux globuleux et en poussant des wouah admiratifs… Bon un peu gêné, je me tourne de l’autre côté. La grenouille se replante devant moi en deux bonds. Elle me dit :
– Bonjour !
– Euh bonjours… Euh, Tu parles ?
– Nan, je suis le pape et j’attend ma soeur.
– Ah bon.

Bon entre temps, j’ai fini quand même et commence à me diriger vers ma voiture en me promettant de ne plus fumer les géraniums de ma voisine. Au moment ou j’ouvre la porte, la grenouille saute sur le siège passager et met la ceinture de sécurité….
– On va chez toi ?
– Euh oui…
– Ok ça me va

Arrivé chez moi, la grenouille me suit toujours :
– C’est ta chambre là-bas ?
– Euh oui….

La, vous allez pas me croire, elle saute sur le lit et se couche les pattes écartées.
– Embrasse moi !

La, je me dis jeannot, il y a quelque chose de pas catholique là dessous, bon qu’elle parle je veux bien, mais je ne vais quand même pas me faire une grenouille. Mais d’un autre côté, je me souviens des histoires de grenouilles se transformant en princesse etc… Et je l’embrasse !

Et c’est à ce moment qu’elle s’est transformé en petite fille monsieur le juge…

À chacun son problème digestif…

Un type dans un bistrot est pris d’une envie TRÈS pressante de soulager ses intestins. Il descend l’escalier qui mène aux gogues, et là, malheur ! Le verrou de l’unique porte indique « Occupé ».

Il se dandine, serre les fesses tant qu’il peut, mais le temps passe et toujours pas de signe de vie dans les chiottes… notre gugusse est toujours en train de serrer les fesses, jusqu’au moment où il sent qu’il n’en peut plus, et qu’il va refaire le crépis des toilettes.

Il tambourine contre la porte :
« Mais DÉPÊCHEZ-VOUS ! J’ai la chiasse ! »

Et il entend une voix essoufflée :
« Gnnnh !… T’as… d’la… chaaaaaance ! »