Humour noir

La bonne action de Jean-Marie Le Pen

Jean-Marie revient d’un meeting électoral dans le Nord, et voit sur le bord de la route un arabe qui vient d’avoir un accident, il est ensanglanté et sur le point de mourir.

Comme il est dans un jour de bonté, Jean-Marie ouvre la portière arrière, met l’accidenté sur la banquette arrière et se met à faire du 180 pour arriver le plus vite possible à l’hôpital.

En chemin, des gendarmes en moto le prennent en chasse pour vitesse un peu excessive. Jean-Marie, soucieux des lois, s’arrête devant le gendarme. En se dirigeant vers Jean-Marie, il jette un coup d’oeil sur la banquette arrière, et dit :
« Alors Jean-Marie, on braconne ? »

Tombé dans les toilettes du chantier

Ça se passe sur le chantier de construction de l’autoroute. Un des manoeuvres dont c’est la première matinée de travail souffre d’atroces crampes d’estomac.

Il va trouver le contremaître pour lui demander où se trouvent les toilettes du personnel. Le contremaître lui répond :
– Tu trouveras des cabines de toilettes portables là-bas sur la butte.

Alors le manœuvre s’en va, le cul serré, dans la direction indiqué par son boss.

Une heure plus tard, le contremaître n’a toujours pas vu le manoeuvre revenir, alors il va voir ce qui se passe. En arrivant sur le lieu d’aisance temporaire, il entend une grande agitation dans une des cabines, alors il crie :
– Mais qu’est-ce qui se passe là-dedans ?

Alors la porte s’ouvre et le manoeuvre apparaît et explique :
– J’ai laissé tomber mon manteau dans le trou et j’essaie de le récupérer avec ce bâton.
– Espèce de débile, ton manteau est foutu maintenant.

Et le manoeuvre répond :
– Je le sais, mais mes sandwichs sont restés dans la poche.

Dessin d'un gros dégueulasse
Tombé dans les toilettes du chantier

Le suicidaire de la Seine et le clochard

C’est un gars désespéré, sur un pont de la Seine, prêt à faire le grand saut. Il veut oublier qu’il vient de se faire licencier et que sa femme le quitte pour partir avec son meilleur ami. Il est prêt à enjamber le parapet lorsqu’un clochard l’aborde :
– Hop hop hop ! Arrête-toi ! Qu’est-ce que tu allais faire ?
– Ma femme m’a quitté, j’ai perdu mon boulot… J’en ai plus rien à foutre de ce monde de merde !
– Ah ben t’as tort ! Figure-toi que je suis une fée ! Oui oui, tel que tu me vois, je peux t’accorder trois vœux !
– Pas possible, répond le désespéré (reprenant espoir). Je suppose qu’il faut vous embrasser sur la bouche pour obtenir la réalisation de ces trois vœux ?
– Presque… En fait, baisse plutôt ton pantalon et tu vas comprendre.

Le gars baisse son pantalon, et le clochard se met à lui bourrer le cul sauvagement. Enfin, il en termine, et s’adressant alors au désespéré, il demande :
– Sans indiscrétion, dis-moi, quel âge as-tu ?
– 45 ans.
– Et à 45 ans tu crois encore aux contes de fée ?

Le corsage de la belle

Un brave homme a fait une conquête un soir au bois de Boulogne. Assis sur un banc avec sa partenaire, il entreprend de lui prouver son amour. A tâtons , comme il fait nuit noire, il dégrafe le corsage de la belle y plonge une main avide et gobe la généreuse poitrine qui lui est offerte. Soudain il se redresse :
– Ma parole ! T’as accouché y a pas longtemps : y a du lait qui vient !
– Chic alors ! C’est pas du lait, c’est mon furoncle qui vient de percer !