Humour noir

La bouteille du voyageur

Cela se passe dans un train. Un voyageur un peu curieux observe un des ses voisins celui-ci a une bouteille posée sur la tablette, bouteille qu’il porte à ses lèvres toutes les cinq minutes. Notre ami un peu curieux se demande bien ce qu’il peut boire d’aussi bon coeur… Sur cette réflexion, voila notre soiffard qui se lève sans doute pour aller aux toilettes. Le curieux se précipite alors sur la bouteille, la porte à sa bouche, avale une gorgée et constate avec étonnement que cette boisson n’a aucun goût.

Au retour de l’autre voyageur il s’empresse de lui demander ce qu’il y a dans la bouteille sans lui avouer bien entendu qu’il y a goûté. L’autre répond alors :
« Je suis tuberculeux. La bouteille, c’est pour cracher. »

Saint-Pierre et le pédé

Au Paradis, ça dépend des jours et des arrivages, des fois, il y a une longue file d’attente. Un jour Saint-Pierre arrive et dit :
– Bon, pour accélérer les formalités d’inscription, je vais vous poser quelques questions ! Et pour commencer, vous allez me dire la profession que vous exerciez sur terre de votre vivant. Monsieur, là, vous faisiez quoi, par exemple ?
– Moi ? J’étais boulanger !
– C’est très bien, boulanger. Je note. Et vous ?
– Moi, j’étais peintre en bâtiment.
– Et vous, vous faisiez quoi ?
– Moi j’étais représentant, représentant en tricots de corps. Ceux qui collent si bien à la poitrine que tu ne peux plus les arracher. Une fois que tu les as, tu meurs avec ! La preuve, regardez, j’ai toujours le mien…
– Ça va, monsieur, je vous en prie, pas la peine de vous déshabiller… Et vous, qu’est-ce que vous faisiez ?
– Ben voilà.., euh…
– Bon, écoutez, décidez-vous: on va pas y passer la journée ! Alors vous faisiez quoi, sur terre ?
– Ben j’étais pédé !
– C’est un métier, ça ?
– Ben oui, j’étais pédé.
– Ah bon, et vous ne faisiez rien d’autre dans la vie ? Non ? Bon, attendez une seconde, je vais me renseigner…

Saint Pierre entre dans le Paradis et demande à la foule :
– Excusez-moi d’interrompre la récré ! Pédé, ça correspond à quoi ? Qu’est-ce que c’est ?

Et là, il y a Vercingétorix qui s’avance et qui répond :
– Faites gaffe ! Faites gaffe, c’est encore un truc pour emmerder la gaule !

Le jeune marié qui aimait la pêche

Un jeune marié en voyage de noces a quitté son épouse pour aller faire une partie de pêche. Sur le bord de la rivière, il rencontre un de ses potes :
– Comment, tu n’es pas avec ta femme ?
– Ben non, tu sais combien j’aime la pêche…
– Tout de même, tu aurais pu rester consommer un peu ton mariage…
– Ben non, elle a une infection vaginale… Et tu sais combien j’aime la pêche.
– D’accord, mais à ce moment là tu pouvais tout de même l’embrasser un peu ?
– Ben non, elle a des abcès dentaires et toutes ses dents sont gâtées… Et tu sais combien j’aime la pêche.
– Bon, mais alors pourquoi tu ne l’as pas emmenée faire une promenade ?
– Impossible, elle a un pied bot. Et tu sais combien j’aime la pêche.
– Excuse-moi, mon pote, mais si elle a autant de problèmes, pourquoi l’as-tu épousée ?
– Ben c’est qu’en plus elle a des vers. Et tu sais combien j’aime la pêche…

La Ferrari et la Pijot

Sur une route, un play-boy roule en Ferrari.

Tout à coup un jeune maghrébin arrive fenêtre ouverte à sa hauteur en Peugeot, et lui dit :
« Ti connais Pijot ? » et accélère brutalement.

Le play-boy, blessé dans son amour propre, accélère un bon coup, et lui répond en le dépassant :
« Et toi, tu connais Ferrari ? »

Après quelques kilomètres, la Peugeot repasse devant et le chauffeur répète « Ti connais Pijot ? »

Le play-boy encore plus énervé accélère encore et le dépasse a nouveau en lui répétant « Et toi , tu connais Ferrari ? »

Roulant a 300 Km/h, il pense ne jamais être rattrapé. Et pourtant, la Peugeot le rattrape et le maghrébin lui répète « Ti connais Pijot ? »

Dépité, et ne pouvant plus accélérer, il répond « Oui, je connais Peugeot, et alors ? »
« Y alors Ou y sont les Freins !? »