Blagues santé
La vérité est tailleur

Un monsieur va voir son médecin parce qu’il a une douleur à l’entrejambe, là, qui le tire sur le côté, puis qui remonte comme ça.
– Ah, mon pauvre monsieur, il faut amputer. Quand on a une douleur à l’entrejambe, là, qui tire sur le côté puis qui remonte comme ça, c’est très grave, c’est une machinchosite, et l’amputation est inévitable.
Bon. Le pauvre gars va voir tous les spécialistes pour s’assurer qu’il n’y a pas d’autre solution, mais finit par se rendre à l’évidence. Il passe sur le billard.
Mais comme il a perdu beaucoup de poids à force d’inquiétude, il doit refaire sa garde-robe. Il va voir son tailleur.
– Avant tout, cher monsieur, dites-moi de quel côté vous portez.
– Hélas, ça n’a plus d’importance aujourd’hui… (gros soupir)
– Ah mais détrompez-vous, si on se trompe, le costume ne vous ira pas, et vous aurez une douleur à l’entrejambe, là, qui tire sur le côté, puis qui remonte comme ça…
Question à cymbale

Dans un hôpital psychiatrique, un pensionnaire présente une main fermée à un autre malade en lui demandant :
– Devine un peu ce que j’ai dans la main !
– Une mouche ?
– Non !
– Une abeille ?
– Non, plus gros !
– Un éléphant ?
Le type écarte un doigt pour regarder dans sa main et demande :
– Oui, mais de quelle couleur ?
Épidémie foudroyante

« Depuis plusieurs mois, nos infirmières avaient la désagréable surprise, tous les vendredi matin, de retrouver morts les patients en réanimation d’une certaine chambre.
Après une enquête épidémiologique poussée à l’intérieur de l’hôpital, aucune cause de ces morts anormales n’avait pu être trouvée. Pourtant, à la suite d’une observation fortuite, il s’est avéré que chaque Vendredi matin, une employée de nettoyage passait dans la chambre et débranchait le respirateur artificiel pour pouvoir brancher sa nettoyeuse-cireuse à la place et ainsi faire son travail.
Quand le sol était enfin propre, elle rebranchait le respirateur artificiel et quittait la pièce, inconsciente de ce que le patient était alors mort. Après tout, elle ne pouvait pas entendre les râles d’agonie avec le bruit de sa nettoyeuse…
Nous sommes terriblement désolés de cet état de fait, et nous avons envoyé une lettre très sévère à l’employée de nettoyage en question. De plus, nous avons pris contact avec un électricien pour que la pose d’une prise multiple nous évite à l’avenir de tels désagréments.
L’enquête est désormais close. »