Blagues santé

La médecine par l’épouse

– Docteur, j’ai tout essayé, mais je continue à souffrir de migraines épouvantables…
– Cher monsieur, je ne vois plus qu’une seule solution : chaque soir, avant de vous endormir, enveloppez-vous la tête avec une serviette très chaude.
– Mais, docteur, ma femme m’a dit au contraire de me mettre sur le front une poche remplie de glaçons !
– Ah bon ? Pourtant, ma femme m’a toujours dit qu’il fallait au contraire rester au chaud…

Erreur opératoire

Un malade se réveille dans une salle de réanimation. Il cligne des yeux plusieurs fois, secoue la tête et tente de se lever, mais s’aperçoit alors qu’il a été amputé des deux jambes, qu’il lui manque un œil et que sa tête est bandée.
– Mais qu’est-ce qui m’est arrivé ? hurle-t-il. J’étais venu ici pour me faire opérer de l’appendicite ! Ils se sont trompés de client, ou quoi ?
– Plaignez-vous ? dit un type à côté de lui, en aussi mauvais état. Moi, j’étais venu pour relever le compteur d’électricité !

Les problèmes du psychiatre

Dans une revue médicale, un psychiatre a fait paraître cette annonce :
« Si vous avez des problèmes, je peux les résoudre pour cinquante euros. Si vous n’avez pas de problèmes, venez à mon cabinet. Je vous donne cinq cents euros et vous me dites comment vous faites. »

L’absence de douleur

Une femme est partie chez le dentiste pour se faire arracher une dent. Son mari l’a encouragée et a essayé de la persuader qu’elle ne souffrirait pas, mais la femme est partie avec une certaine angoisse.

Quelques instants plus tard, le type entend sa femme qui rentre dans l’appartement en chantonnant.
– Tu vois, chérie, lui lance-t-il quand elle pénètre dans la pièce. J’avais raison ! Tu n’as rien senti !
– Et pour cause, lui répond-elle. Le dentiste n’était pas là !

Le bon traitement

– Votre patient se plaint du ventre et vous avez diagnostiqué une amibiase dysentérique à double circonvolution pancréatique et trimus du maxilaire inférieur, dit un professeur de médecine à l’un de ses élèves. Que prescrivez-vous ?
– Euh… Trois comprimés de glucksophétamol matin, midi et soir, et deux cachets de bipermanganate de strofusium toutes les heures…
– Bien, fait simplement le professeur.

L’élève se rassied, réfléchit à sa réponse et, brusquement, se lève et revient voir le professeur.
– Excusez-moi, monsieur, je me suis trompé. Ce n’est pas trois comprimés de glucksophétamol par repas qu’il fallait prescrire, mais un comprimé tous les trois jours !
– Trop tard, mon jeune ami.
– Comment ça, trop tard ?

Le professeur consulte sa montre et laisse tomber sèchement :
– Votre patient est mort depuis trente secondes.