Blagues hôpitaux

Les blessures de l’accident

Le médecin-chef de l’hôpital examine un blessé en pitoyable état.
– Double fracture du fémur, annonce-t-il.
– Ça, c’est mon accident, dit le malheureux.
– Trois côtes cassées…
– C’est mon accident.
– Deux vertèbres brisées…
– Toujours mon accident.
– Et cet œil au beurre noir, je suppose qu’il a également été causé par votre accident ?
– Non, ça c’est l’infirmière, quand j’ai essayé de glisser une main sous sa jupe pour lui peloter les fesses.

dessin humoristique d'une drôle d'infirmière avec un énorme suppositoire
Les blessures de l’accident

La bonne nouvelle de la vasectomie

Un gars se fait hospitaliser pour subir une vasectomie. Quelques heures après l’opération, le chirurgien vient le voir dans sa chambre et lui dit :
– Hem… J’ai une bonne et une mauvaise nouvelle pour vous. Laquelle voulez-vous entendre en premier ?
– Donnez-moi la mauvaise d’abord docteur.
– Eh bien, pendant l’opération, nous avons accidentellement procédé à l’exérèse de vos deux testicules…
– Oh mon Dieu !, s’écrie le gars avant de fondre en larmes.
– Mais il y a la bonne nouvelle : on a fait une analyse et je pense que vous serez heureux d’apprendre qu’ils n’étaient pas cancéreux…

La terrible amputation

Un homme se réveille dans son lit d’hôpital après être y avoir été admis suite à un terrible accident de voiture. Il s’écrie :
– Infirmière, infirmière… C’est horrible, je ne sens plus mes jambes !
– Oui, je suis désolé monsieur, mais on a du vous amputer des deux mains, répond l’infirmière.

La télévision à l’hôpital

– Je me félicite, dit un homme, hospitalisé à la suite d’un accident, d’avoir loué un téléviseur pour le faire installer dans ma chambre.
– Cela vous distrait de votre mal ?
– C’est surtout que, désormais, dès que des collègues de bureau viennent me voir, ils se plantent devant la télé pour regarder des séries. Ça leur évite de me casser les pieds, comme ils le faisaient en me racontant des histoires concernant des gens qui ont eu exactement la même chose que moi et qui sont morts dans d’horribles souffrances.

La punkette à l’hôpital

À l’hôpital, une jeune punkette est admise aux urgences pour des maux de ventre très intenses. La jeune fille est coiffée à l’Iroquoise, la crête teinte en rouge vermillon et elle porte un peu partout quantité de tatouages.

L’interne de garde qui l’examine détermine rapidement qu’elle est victime d’une crise d’appendicite aiguë et décide qu’il faut opérer.

Une fois la fille sur le billard anesthésiée, l’équipe médicale constate qu’elle a les poils pubiens teints en vert et porte un tatouage juste au-dessus du pubis disant « Pelouse interdite ».

Après l’opération, et la pose des bandages, le chirurgien s’en va chercher un crayon marqueur et inscrit sur le pansement :
« Désolé, mais j’ai du tondre le gazon. »