Blagues fous

Le patient qui se prenait pour un chien

– C’est bon, dit le psychanalyste à son patient, tout le monde est d’accord, là-dessus : vous êtes un chien. Que vous aimiez vous faire promener dans la rue tout nu, tenu en laisse par votre femme, avant de la prendre par derrière devant tous les passants, ça ne gêne absolument personne. En revanche, ce qui m’exaspère, c’est que, toutes les trois minutes, vous leviez la patte contre mon divan.

Le fou qui va poster une lettre

C’est l’histoire d’un fou qui rencontre un autre fou :
– Où vas-tu ? dit le premier
– Je vais poster une lettre.
– Tu écris maintenant ?
– Oui.
– Et, à qui tu écris ?
– A moi-même.
– Et que racontes-tu ?
– Je ne sais pas je ne l’ai pas encore reçu !

Le fou qui se prenait pour un lustre

Un fou est suspendu à une poutre du plafond. L’inspecteur demande au directeur pourquoi. Le directeur lui dit :
– C’est parce qu’il se prend pour un lustre.
– Ne peut-on pas le faire descendre maintenant ?
– Oui, on le peut, mais avec quoi va-t-on s’éclairer ce soir ?

Les fous qui jouent au boucher

Deux fous s’ennuient. Un des deux dit à l’autre :
– J’ai une idée, on va jouer au boucher. Je fais le boucher et tu fais le client. Tu entres dans le magasin et tu demandes un steak.
– OK. Bonjour monsieur le boucher, je voudrais trois litres de lait s’il vous plaît.
– Non ! Tu n’as pas compris, c’est un steak que tu dois commander. Bon, on échange.

Ils changent de place.
– Bonjour monsieur le boucher, je voudrais un steak, s’il vous plaît.
– Oui, bien sur, vous avez les bouteilles vides ?

L’homme qui se prenait pour un cheval

Chez un psychanalyste :
– Docteur, mon mari pense qu’il est un cheval.
– Il est probablement stressé et il lui faudrait un peu de repos.
– Mais il ne veut plus dormir dans le lit. Il passe la journée et la nuit dans le jardin à brouter de l’herbe.
– Dans ce cas, c’est plus grave, et il lui faudra un traitement qui risque d’être long et coûteux.
– Oh, ne vous en faites pas pour l’argent : Dimanche dernier, il a gagné le tiercé !