Blagues nationalités
Chacun son métier !
Simon vend des frites dans la rue. Il reçoit la visite de Moshé, qu’il n’a pas vu depuis quelques années.
– Alors Simon, ça va ?
– Oui Moshé ça va.
– Ah ! Je suis content pour toi, Simon !
– Merci Moshé.
– Et tu ne me demandes pas comment ça va, moi ?
– Si je te le demande. Moshé, comment ça va ?
– Eh bien Simon, ça va pas bien. Je suis ruiné, je n’ai plus de quoi manger, ni payer mon loyer. Les huissiers sont chez moi tous les jours, ma femme veut se suicider.
– Ah c’est bien triste Moshé.
– Et toi, ton commerce, ça marche bien, Simon ?
– Oh tu sais, comme ci comme ça.
– Simon, on se connaît depuis au moins vingt ans, non ?
– Eh bien, depuis notre Bar Mitsva (communion, à l’âge de treize ans), j’ai trente-trois ans, ça fait vingt ans en effet.
– Simon, au nom de notre amitié, est-ce que tu pourrais me prêter cent euros ?
– Ah Moshé, ça aurait été avec plaisir, mais je ne peux pas, je n’ai pas le droit.
– Comment ça ?
– Tu vois la banque en face ? Nous avons passé un contrat. Le banquier m’a promis qu’il ne vendrait jamais de frites. Et je lui ai promis que je ne prêterais jamais d’argent.
Les explorateurs belges et français
Deux explorateurs l’un belge et l’un français sont partis ensemble explorer la sombre et dangereuse lande africaine. Quand, au moment d’une pose alors qu’ils déballent leurs affaires, le français remarque une ENORME enclume dans le sac à dos du belge.
Le français :
– Mais pourquoi as-tu emmené une enclume en Afrique ? Ça n’a aucune utilité !?
Le Belge :
– Mais si, pour les lions !!!
Le français : … [expression de surprise et d’incompréhension]
Le Belge :
– Si un lion nous coure après, je largue l’enclume et du coup, je cours 10 fois plus vite.
Le complexe d’Œdipe
Les parents du petit Samuel, les Bensimon, sont très inquiets, il semble souffrir de graves troubles mentaux. Ils l’emmènent donc voir un psy.
Le psy demande aux parents d’aller dans la salle d’attente afin qu’il puisse s’entretenir seul à seul avec leur fils. Au bout d’un quart d’heure il sort et dit aux parents :
– C’est très grave, votre fils fait un complexe d’Œdipe.
La mère répond :
– Un complexe d’Œdipe ? Oh c’est pas grave, du moment qu’il aime sa mère…